Travaux pratiques
Datte: 30/05/2025,
Catégories:
fff,
jeunes,
caresses,
intermast,
init,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... flatte la poitrine de Marion du bout de la main. Je dessine des cercles concentriques de la base vers le mamelon, passant d’un sein à l’autre, en alternant tantôt le dos des ongles, tantôt la pulpe des doigts. J’effleure la peau, lentement, à la limite du chatouillement. Marion se domine, immobile, les paupières closes. J’accentue progressivement mes caresses, attentive à sa respiration, d’abord courte et retenue, puis profonde et calme, qui peu à peu se précipite quand je masse et pétris doucement ses aréoles. Babette, tendue, observe sans perdre aucun geste.
Un soupir de déception gonfle la poitrine de Marion lorsque ma main l’abandonne. Un frisson la parcourt lorsque mes lèvres entourent un téton. Je dépose une goutte de salive, l’étale d’un petit coup de langue, me retire une seconde et reviens poser un léger baiser. Je garde en bouche cette fraise qui grossit et durcit au rythme des battements du cœur. Une faible aspiration entraîne un frêle gémissement. Une succion plus forte suscite un bref roucoulement satisfait.
Je gobe tout entière cette adorable aréole brune et la poitrine de Marion roule de gauche à droite sous ma caresse. J’accompagne les mouvements en forçant ou en relâchant ma prise. Le mamelon croît dans ma bouche ventouse et se gorge de sang. Un brusque raidissement du buste indique les prémices de la douleur. Je libère le téton turgescent, l’apaise d’un tendre léchouilli, l’abandonne sur une bise taquine. Une main se crispe sur mon poignet.
— ...
... Encore, encore ! Continue, s’il te plaît, supplie Marion dans un souffle rauque.
J’invite du regard Babette à s’exercer sur l’autre sein dont le téton se tend d’être délaissé. Elle y reproduit de son mieux mon exemple, avec prudence et douceur, récompensée par un ronronnement de plaisir. Je reviens sur ma proie, négligeant l’aréole, me concentrant sur le bout. Je le reprends du bout des lèvres, le pince et le suçote, le mordille tendrement, le tète affectueusement. L’alternance d’agaceries et de cajoleries conjugue leurs effets. Les doigts de Marion lâchent mon bras et glissent vers son ventre.
— Oui, ma chérie, caresse-toi…
Ses doigts hésitants s’arrêtent timidement sur le pubis. J’encourage Babette à poursuivre ses efforts. C’est une bonne élève, elle coordonne ses gestes avec les miens, pinçant quand je lèche, suçant quand je mordille. Chacune sur un sein, nous ne laissons aucun répit à Marion. Sa poitrine se tend pour mieux se donner à nos bouches. Je guide sa main entre ses cuisses.
— N’aie pas honte, ma puce. Masturbe-toi, tu en as besoin.
— Avec toi, Marraine, avec toi, murmure-t-elle, implorante et troublée.
Son enfourchure est moite. Je sens la chaleur de sa chatte à travers nos doigts croisés. J’accompagne les siens dans un petit pianotage sur les lèvres gonflées. D’attouchements mesurés en palpations plus vives, la raideur des mouvements se détend. Je me règle à son rythme, sans le hâter, sans cesser de titiller ses tétons. Soudain, c’est elle qui inverse ...