Travaux pratiques
Datte: 30/05/2025,
Catégories:
fff,
jeunes,
caresses,
intermast,
init,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... je n’ai pensé qu’à ça !
— Mes petites chéries, vous m’avez rendue folle…
Je les attire tendrement sur ma poitrine et leurs bouches avides trouvent tout naturellement le chemin de mes seins. Je tressaille quand les suçons avides étirent mes tétons. Une tétée goulue qui me plonge des années en arrière, me muant de marraine en mère nourricière. Un plaisir fugitif m’enchante avant que les succions brutales et les dents imprudentes ne me fassent gémir. Mais il y a tant d’amour dans cette ardeur sauvage que j’en suis bouleversée.
— Doucement, mes chéries ! Pitié pour mes seins ! Vous allez m’arracher les bouts !
Mes suppliques affectueuses les calment progressivement. Deux têtes ébouriffées se détachent à regret de ma poitrine. Deux paires d’yeux inquiets s’étonnent de ma réaction douloureuse. Deux visages aimants m’interrogent. Marion et Babette sont déçues que je rejette leurs élans amoureux. Je caresse les cheveux rebelles de mes soupirantes trop passionnées.
— On ne dévore pas un téton, mes puces. On le goûte, on le suçote, on le déguste, on le câline, on le dorlote, on le titille, on le mordille avec délicatesse, on l’excite peu à peu… jusqu’à ce qu’il soit si dur qu’il fasse mal, jusqu’à ce que ce soit lui qui réclame, qu’il vous dise : « prends-moi, mords-moi, mange-moi, fais-moi ce que tu veux, mais délivre-moi de ma tension, je veux jouir ! ».
Elles m’écoutent bouche bée, penaudes et ravies.
— Hé oui, mes douces diablesses ! Cela aussi s’apprend, ...
... conclus-je fièrement.
— Je ne savais pas qu’on pouvait jouir des tétons, pointe Marion, les sourcils froncés.
— Pour certaines, c’est vraiment le cas. Là, c’était façon de parler, juste pour dire ce qu’il se passe quand les bouts sont très excités : on le ressent jusqu’au fond du minou. Voulez-vous que je vous montre ?
Le double hochement de tête ne me laisse aucun doute sur l’impatience de mes élèves. Elles s’emparent derechef de mes tétines, avec plus de mesure cependant. Mais je les arrête gentiment car je suis une adepte convaincue de l’enseignement par l’exemple. Du moins est-ce la raison plausible que je donne pour refréner leur enthousiasme. Je suis assez lucide pour reconnaître in petto mon désir de joindre au plus vite l’utile à l’agréable.
La logique pédagogique commanderait de choisir d’abord Babette comme modèle si les tétons courts de notre blondinette ne faisaient pas obstacle à une bonne démonstration. Je jette mon dévolu sur les fraises brunes de Marion, bien en valeur sur ses petits seins pointus. La persuader de s’étendre entre Babette et moi est d’une simple évidence dès lors qu’elle connaît le but de ma demande.
— Installe-toi confortablement, ma puce. Pose ta nuque sur l’oreiller et détends-toi. Ferme les yeux, ne bouge pas, ne pense à rien d’autre qu’à ce que tu ressens. Laisse monter le plaisir. Toi, Babette, mets-toi sur le côté comme moi. Un peu plus bas : la tête à hauteur de son épaule. Voilà. Tu regardes, simplement.
Appuyée sur un coude, je ...