1. Travaux pratiques


    Datte: 30/05/2025, Catégories: fff, jeunes, caresses, intermast, init, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... caractéristique, m’évite de répondre. Babette, un rien confuse, récupère prudemment le gode qui frémit sur le lit.
    
    — Je vois que tu as trouvé le cadeau de Christine. C’est mon préféré. Encore heureux qu’il n’ait pas fini par terre, l’avertis-je faussement contrariée tout en saisissant Marion par la taille.
    — Pardon, Marraine. Je ne pensais pas que ça vibrerait si fort…
    — Ça s’appelle un vibromasseur, non ? Tu l’as mis à la vitesse maximum, aussi !
    — Non, j’ai juste poussé le bouton. Rien touché d’autre. La dernière qui s’en est servi a dû le laisser dans cette disposition, remarque-t-elle en m’observant du coin de l’œil.
    — Hum, bon, un oubli… désolée ! Et toi, arrête de frotter tes pommes sur mes poires, rabroué-je Marion pour changer de sujet.
    
    Elle m’adresse un tel regard angélique qu’on jurerait qu’elle n’y a jamais pensé, que le contact de nos seins est un pur hasard, et que c’est peut-être moi, après tout, en la serrant de trop près qui en suis la cause… Bref, je calomnie une sainte. Ben voyons ! J’éclate de rire.
    
    — Tu es trop belle ! Mais tu ne vas pas t’en tirer comme ça, ma mignonne. Allez, hop ! À poil, l’innocente !
    
    Il me suffit de m’accroupir brusquement pour baisser à la fois son short et sa culotte.
    
    — Et voilà, Mademoiselle est prête pour mettre ses sous-vêtements neufs.
    — Je n’en ai plus envie, objecte-t-elle. Je suis bien, toute nue. J’aimerais essayer autre chose.
    — C’est-à-dire ?
    — Des caresses… Comme quand on a dormi avec toi. Mais ...
    ... aujourd’hui, il fait moins chaud…
    
    Nous y sommes ! Elle a une petite moue gourmande et les yeux brillants. Babette s’approche, le gode bourdonnant faiblement dans sa main. Elle le brandit sous le nez de Marion.
    
    — Si tu veux, je peux te faire essayer un jouet de grande.
    
    Hé, ho, doucement ! Il ne s’agit pas de se lancer dans des défloraisons inconsidérées. La gamine a d’ailleurs un mouvement de recul qui ne trompe pas. Je l’entoure de mes bras(je m’émerveille à chaque fois de la douceur de sa peau) et je fais mine de la protéger des assauts d’un rustre en prenant un ton sévère.
    
    — Halte là, Miss Cruella ! On ne menace pas ainsi une pure et chaste damoiselle. Tu ne serais pas capable de t’en servir, en plus.
    — T’as qu’à nous apprendre, me rétorque sérieusement Babette. Et puis, si Marion était chaste et pure, on le saurait !
    — Oh, je n’ai pas d’illusion, ni sur elle ni sur toi, sois-en sûre ! Par contre, tu as raison : savoir manier un gode suppose un minimum d’apprentissage…
    
    J’attends qu’elle et Marion réalisent ce que ma remarque sous-entend avant de lui demander pourquoi elle est la seule à être encore habillée. Ce délai, si minime soit-il, me fait apprécier encore plus le soyeux de la poitrine de Marion contre la mienne. Quant aux papillons qui s’envolent dans mon ventre au contact du sien, je n’ose même pas en parler.(Et quand je dis « ventre », je suis pudique !)
    
    Marion ressent aussi cet émoi. Elle se serre plus fort dans mes bras. Ses mains caressent mon dos, ...
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