Travaux pratiques
Datte: 30/05/2025,
Catégories:
fff,
jeunes,
caresses,
intermast,
init,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... ça va, juste humide de transpiration.)
Babette dispose mon soutif dans les règles, bonnet sur bonnet. Marion furète au hasard, tire un tiroir, le referme, en ouvre un autre. Exclamation. Elle tombe en arrêt, les yeux ronds.
— Marraine ! C’est quoi, ça ? !
— À ton avis ? Ne me dis pas que tu n’en as jamais vu !
— Heu… oui, reconnaît-elle en tendant le cou, mais seulement en photo.
— Si c’est celui que Maman a offert à Marraine, s’intéresse Babette, j’aimerais bien le voir.
— Je ne sais plus, avoué-je. Tu me montres, Marion ? Hé bien, prends-le, ça ne mord pas !
La façon dont elle le tient, du bout de deux doigts, une moue réprobatrice sur la bouche, m’amuse et me surprend. Fille unique, d’accord, mais n’aurait-elle jamais joué avec un petit camarade ? Elle tend l’objet à Babette, manifestement satisfaite d’en être débarrassée.
— Dis donc, ma chérie, si tu t’y prends comme ça avec ton copain, il va être déçu, pouffe Babette.
— J’ai pas de copain, j’ai que des copines, grogne Marion rougissante. T’es bête !
— Ne la taquine pas, Babette, dis-je sans relever l’équivoque. Fais-moi plutôt voir ce jouet… Non, ce n’est pas celui que m’a donné ta mère, c’est le cadeau de Julia pour le premier anniversaire de notre rencontre. Il est beau, non ? J’aime sa forme simple et lisse. Il ne vibre plus. Trop vieux. Dommage. Mais je le garde en souvenir, et il est toujours utile !
Les filles me regardent, ébahies, faire à poil des commentaires attendris sur un ...
... godemiché d’antique facture. J’admets que ce n’est pas très séant, mais il y a tant d’images qui se rattachent à ce fuseau de plastique maintenant inerte que je n’ai pas honte de le caresser et de l’embrasser devant elles.
— Et celui de Maman, me rappelle Babette têtue, tu ne veux pas nous le montrer ?
— Il doit être dans l’autre tablette, avec les miens. Tu peux aller voir.
— Comment ça, s’offusque presque Marion, tu en as plusieurs ? ?
— Il faut savoir varier les plaisirs, ris-je. Dépêche-toi plutôt de quitter tes frusques, au lieu de jouer les mijaurées ! Tu étais pressée de remettre tes froufrous fleuris, tu as oublié ou tu veux que ce soit moi qui te déshabille ?
— Chiche !
Marion se plante devant moi, l’air effronté, bras croisés dans le dos, un sourire de défi aux lèvres. Elle n’est plus du tout fâchée ni préoccupée de la petite collection que Babette installe en rang sur le lit. Je n’ai qu’à me pencher pour attraper le bas de son tee-shirt, elle en profite pour m’embrasser un sein. Frisson… sa bouche est étonnamment fraîche. Ou est-ce moi qui suis chaude ?
Je m’obstine, tire vers le haut, tente en vain de forcer le barrage de ses coudes. Elle renouvelle deux fois sa bise, sur les mamelons cette fois, et lève aussitôt les bras. Le tee-shirt s’envole, entraînant le soutien-gorge.
— Petite futée ! Tu l’avais décroché en douce !
— Bof, facile, élude-t-elle. Tu as vu ? J’ai les tétons qui pointent… comme les tiens.
Un cri de surprise, suivi d’un vibrato ...