La balade colombienne
Datte: 10/02/2025,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
médical,
voyage,
avion,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
aventure,
Auteur: Charlie67, Source: Revebebe
... leurs mécaniques de matamores, mais dont le fond étaient très tendres. Et puis, les rabrouer un peu avant de faire l’amour, cela l’excitait et surtout les mettait en condition. Les petits élancements de son bas ventre lui rappelèrent ses envies et l’heure tournait… !
Dans un quart d’heure, ils auront passé la chaîne de montagnes et il faudra changer de cap. Pas de temps à perdre. Appuyée au dossier du fauteuil du commandant, elle défit rapidement sa ceinture, puis descendit son pantalon et sa culotte. Toujours attentive aux instruments de bord, elle dit :
— Bon, vas-y Juan, mais dépêche-toi… !
Le garçon ne se le fit pas dire deux fois et besogna fortement la pilote. Toutefois, cela lui prit un certain temps jusqu’à qu’il prenne son pied. Une fois retirée et la place libre, Mathilde, toujours attentive aux instruments de bord et surtout à l’horizon car la chaîne de montagnes était maintenant toute proche, interpella l’autre carabin.
— À toi, Aurélio, mais fait vite, t’as cinq minutes.
— Tu vas voir ce que tu vas voir, ma belle, répondit l’interpellé et embrochant vigoureusement la pilote… !
Celle-ci, toujours imperturbable, examinait par-dessus le dossier du poste de pilotage ses cadrans, tout allait bien pour le moment, mais dans très peu de temps, il faudra sauter dans le fauteuil de pilotage et changer de cap.
Aurélio eut la délicatesse d’éjaculer en elle suffisamment tôt pour qu’elle ait le temps de se rajuster, de sauter dans le fauteuil, de désactiver ...
... le pilotage automatique et d’exécuter cette manœuvre d’évitement de montagne avec un brio presque professionnel. Maintenant calmée, elle observait l’horizon. Tout en discutant avec la tour de contrôle de San José le cap était programmé et il n’y avait plus que la grande plaine devant elle. San José était d’une approche facile. Elle avait une bonne demi-heure devant elle. Les moteurs ronronnaient doucement, tout était calme, tout allait bien… Sauf elle… !
Il fallait qu’elle trouve un moyen de fausser compagnie discrètement.
L’arrivée à San José se fit sans aucun problème. Atterrir par beau temps et sur une piste en dur était un vrai plaisir. Un plaisir d’autant plus grand qu’il se fit dans la plus totale indifférence. Sans être un « Hub » international, l’aéroport recevait bon nombre de lignes intérieures, et le DC3 de Mathilde se fondait dans la masse. Elle aurait dû se rendre à la direction de l’aéroport pour un débriefing, mais évidemment court-circuita la procédure.
Juan et Aurelio prirent bien sûr soin de leurs patients et ce n’est que quand ils passèrent la main à leurs collègues des centres hospitaliers qu’ils purent respirer et penser à décompresser. Leur première destination fut le bar de l’aéroport pour s’envoyer quelques bières derrière le paletot. Ils se racontèrent leurs bonnes fortunes et c’est à l’ivresse naissante qu’ils quittèrent l’estaminet.
— Tu me ramènes, demanda Aurélio ?
— Euh… répondit Juan
— Quoi, euh, je ne suis pas digne de monter sur ...