1. Morris Garage


    Datte: 22/12/2024, Catégories: fh, hplusag, inconnu, campagne, revede, intermast, Oral pénétratio, fsodo, occasion, Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe

    ... mes seins avec rudesse tout en me baisant avec une lente vigueur. Sa main fit valdinguer ma perruque dans la pièce, ses gestes de brute triplaient mon excitation. Puis tout s’emballa, Adrien n’était plus de ce monde, il s’engouffrait dans moi avec la rage d’une vie entière contenue dans ce moment-là. De mon vagin au trou de mon cul, sa queue était en terrain conquis. De sa bouche sortait un râle rauque et grave. J’aimais cet animal. Violemment, il me fit faire volte-face. Brutal comme un bûcheron ; j’étais une plume, un roseau. Sa bite entrait dans mon cul et ce supplice était mon délice. Son souffle emplissait la pièce. Bien au-delà de la pièce. Tisonnant longuement mon orifice, il me reprit à nouveau devant.
    
    Mes mains cherchaient sa queue, je voulais accompagner son va-et-vient, mais j’étais impuissante, figée, clouée au matelas.
    
    — Ma bouche, ma bouche Adrien, ma bouche !
    
    Alors il prit son sexe qui dépassait de ses deux mains superposées bien au-delà de mes deux mains jointes aux siennes. Il le prit et l’enfonça dans ma gorge. J’allais mourir, mais cette mort-là me ravissait. Puis un jus suave emplit ma bouche, se déversant comme un coulis dans ma gorge et régurgitant à la commissure de mes lèvres, ruisselant dans ...
    ... mon cou.
    
    Adrien braillait, expurgeait, grondait des mots que dans mon étouffement j’entendais lointainement.
    
    — Salope, sa… lo… pe !
    
    Des couilles au gland, bien après la détumescence, je léchais la bite d’Adrien et mon corps ne se rassasiait pas. La paume de mes mains enduisait mes seins du sperme d’Adrien.
    
    Extatique et dans l’incessante jouissance, jamais je ne saurais dire quand je m’endormis.
    
    Au petit matin, j’étais contre son corps, son ventre lourd contre mon cul. Je pris son sexe dans mes mains, je l’aurais voulu dans ma bouche, mais Adrien n’esquissa absolument aucun geste, sa respiration était douce comme celle d’un enfant. J’enfilais mon jean, un tee-shirt, mes Converses.
    
    En passant dans la cour, je disposais ma robe, ma perruque, mes dessous chics sur le siège de la MG.
    
    Comme un cowboy quitte le ranch, je quittais la scierie. Juste un petit sac à l’épaule. Le premier car pour la première ville était à 7 h 15.
    
    Sur la route de campagne bringuebalante, je laissais la scierie derrière moi. La scierie et bien d’autres choses.
    
    Quand le car surplomba la vallée, j’aperçus la tache rouge que faisait la MG dans la cour de la scierie.
    
    MG pour Morris Garage, me dis-je, c’est un peu ballot comme nom. 
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