Morris Garage
Datte: 22/12/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
campagne,
revede,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Landeline-Rose Redinger, Source: Revebebe
... bandé.
Alors je m’insinuais sous l’élastique de son slip. Ma main sortit son sexe, et moi qui avais tant vécu, moi dont le corps avait accueilli tout ce qui peut l’être, moi dont les mains avaient branlé tant de queues, je n’avais jusqu’alors pas vu un membre semblable. Son épaisseur et sa longueur en faisaient presque un objet irréel. Doté d’une telle bite, tellement hors du commun, Adrien n’avait pourtant jamais connu l’érection.
Je le pris. Mes mains le palpaient, allaient en pistonnant sur la longueur et Adrien jouissait, mais ne bandait pas. Devant ce reptile au gland massif et violacé, mon désir redoubla. Ma bouche accueillit ce rondin qui m’étouffait. Mais tout était sublimé, tout était au-delà. Je portais sa queue, la léchais jusqu’aux lourdes couilles flétries que je tétais.
Adrien avait entré ses doigts dans mon sexe et dans mon cul tandis que je me flagellais les seins de sa bite. Le gourdin de chair m’emmenait là où je n’étais pas encore allée. J’aurais voulu ce manche dans mon cul, mais rien ne durcissait, pas plus sous ma main que dans ma bouche.
Longuement, l’engin glissa entre mes seins alors que j’en suçais le bout qui heurtait mon palet. J’étais dans l’innommable joie orgasmique, dans l’indéfinissable jouissance. J’étais LE plaisir.
Le changement de jeu des corps changea la donne.
Adrien léchait mon cul quand, perchée à califourchon sur son ventre lourd, je branlais sa bite, descendant et remontant au long en lapant comme un chiot le ...
... lait.
Sa langue mobile et rapide passait du devant au derrière, dans un jeu presque mécanique. Je maintenais sa bite avec fermeté dans mes mains, happant le gland visqueux comme une glace à l’italienne.
Adrien inondait mes orifices de sa salive où je le baignais des coulures de ma jouissance. Nous formions pour qui en eut été l’observateur, le voyeur, nous formions un ensemble cinétique, nos corps semblaient s’alimenter des effluves de l’autre. Je sentais les pulsions saccadées de mon sexe, propulser le jus de mon plaisir dans la bouche d’Adrien. Nos cris de bêtes s’unissaient. Nous étions une machinerie sexuelle, la bête à deux têtes.
Dès lors, je sus qu’à nouveau le plaisir de mon corps passerait avant les sujétions du quotidien ; j’étais en quelque sorte dans la philosophie existentialiste. La joie était en moi. La joie était moi.
Sa langue alerte dans mon cul, sa queue rustre et brutale dans ma bouche, Adrien ne savait pas alors quel bienfaiteur il était.
Puis un évènement survint de nulle part, comme une ellipse du temps, Adrien me retourna brusquement, se posant droit devant moi en glissant mes jambes en compas sur ses épaules. Il prit son sexe immense dans ses mains et l’enfonça dans mon cul comme on empale un supplicié. Je le sentis dur, une forme oblongue de manche. Adrien allait progressivement en moi et chaque coup m’emportait au bord de la syncope. Je ne hurlais pas, je suffoquais. Je me pâmais.
Adrien arracha d’un geste sec mon soutien-gorge, palpa ...