Un baiser forcé - Histoires de Sexe

Un baiser forcé

... joue sur l’incertitude pour pouvoir mieux me piéger.

Quelques minutes plus tard, je reçois devant les yeux une petite culotte.

— Renifle ce tissu et dis-moi ce que tu en penses !

Je le respire à pleins poumons. Son odeur est très forte et sirupeuse. Elle sent aussi un peu la jeune fille négligée. Cette odeur est très excitante et ne laisse aucun doute sur la force de son émoi.

— Ça sent vraiment très bon, ma déesse.
— Je ne suis pas « ta déesse » et je ne te demande pas de dire des banalités. Je veux tout savoir de cette culotte, tout ce qui te traverse l’esprit. Dis-moi ce que tu as de plus tordu et de plus obscène dans la tête.
— Ça sent très fort, une forte odeur intime…
— Mais encore ?
— Ça sent aussi l’urine.
— Tu veux dire « la pisse ». Pourquoi tu ne dis pas « la mouille, la pisse », si c’est comme ça que tu penses ? Non ? Tu dois te dire : « Mais pour qui elle se prend, cette grosse cochonne négligée, elle ferait mieux de se laver la chatte »… Et de l’autre côté, tu as senti ? Ca sent quoi ?
— Ça sent un peu le cul.
— Et elles t’excitent, mes odeurs.
— Oui beaucoup.
— Et pourquoi elles t’excitent ? Tu aimes les odeurs fortes ?
— Oui.
— Tu n’es pas très bavard. Je suis certaine que tu es beaucoup plus cochon que tout ce tu veux bien montrer. Tu es un sale petit vicelard obsédé qui se complait dans la fange. Vas-y lèche-la, cette culotte, puisque tu aimes mon odeur forte. Hume-la, ma pisse, puisque cela t’excite ! C’est un présent de ta ...

... déesse (et de bien insister sur le « ta déesse »). Il te faudra la garder précieusement, près de toi comme une sainte relique et l’adorer plusieurs fois par jour. Tu la mettras sous ton nez et tu la respireras durant de longues minutes tout en te masturbant sans retirer ton slip. Et, ensuite, tu devras tout me raconter, tout ce que tu as pensé et comment tu as joui. Il faudra aussi que tu m’apportes tes caleçons pour que je vérifie qu’ils ont bien été souillés par ta liqueur bestiale … Maintenant relève la tête et regarde-moi.

Elle est debout sur le lit, entièrement nue, ses seins à peine prononcés, quasi inexistants mais ornés d’une constellation de taches de rousseur. Par contre elle a gros tétons érigés qu’elle caresse lentement avec ses mains. Et, au niveau de son sexe, juste une petite touffe de poils fins et délicats.

— Maintenant, relève-toi et dépose un baiser sur ma corolle sans me toucher d’aucune façon, et ensuite vas t’en, je ne veux plus te voir.

Je pose religieusement un baiser au beau milieu de son entrecuisse. Son odeur est réellement divine.

— Ça suffit, vas t’en ! Et n’oublie pas de m’apporter demain soir les preuves de ton adoration… Après dîner, vers 21h, ce sera plus pratique !

A peine rentré dans ma piaule, je me suis masturbé en reniflant sa culotte. Je revoyais son corps entièrement nu, près du nounours, ses gros tétons dressés et sa petite touffe de poil, je me revoyais aussi en train de lécher ses pieds sales, de les gober jusqu’à plus ...