Un baiser forcé
Datte: 07/03/2018,
Catégories:
fh,
douche,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
Auteur: Roger Bichon, Source: Revebebe
... que tu te prosternes devant moi et que tu m’embrasses les orteils et les doigts de pieds !
Le ton est désormais plus incisif. Elle allonge maintenant les jambes et pose les pieds par terre.
Je m’agenouille devant elle et me penche vers ses extrémités.
— Non, pas comme ça, tu n’es pas à l’aise. Allonge-toi complètement sur le sol ! ordonne-t-elle, sans détour.
Je m’exécute, à plat vente sur le sol glacé, une odeur de pieds caractéristique, mais pas désagréable. Je respire son odeur et embrasse religieusement ses doigts un à un.
— L’autre va être jaloux !
— …
— Prends-les dans ta bouche et suce-les très lentement… Non pas comme ça. Pas si vite, tu as tout ton temps. J’ai envie de faire de toi mon esclave. Je suis une déesse et tu me dois adoration.
Ses dessous de pieds sont vraiment sales, à force de marcher pieds nus. Au début j’hésite un peu, passablement dégoûté mais, l’excitation aidant, je finis par faire fi de mon dégoût initial. Maintenant je gobe ses orteils sans retenue et les lèche comme des sucettes de chair. Pendant que je m’occupe d’un pied, l’autre me caresse la joue ou m’appuie sur la tête.
Alors que je me hasarde un peu plus haut :
— J’ai dit « pas au-dessus des chevilles », tu dois m’obéir au doigt et à l’œil. Prends mes doigts de pieds entièrement dans ta bouche ! Et lèche-les.
Tandis que je suce ses orteils, elle pousse son pied plus avant, au risque de m’étrangler.
Elle a relevé sa jupe et vient de glisser sa main dans sa ...
... culotte.
— Baisse les yeux, ne regarde surtout pas !
J’obtempère mais je sais qu’elle se masturbe. D’ailleurs je perçois le léger clapotis de ses doigts qui fouillent sa petite chatte. C’est très excitant, tous ces petits bruits. Je redouble d’ardeur pour lécher ses jolis petits pieds. Je les suce, je les gobe, je les pourlèche, je les nettoie. Sa masturbation se fait plus chaotique, le clapotis de son sexe en devient plus obscène. Je redouble d’ardeur, excité comme un fou.
Et, lorsque enfin elle se cabre en gémissant comme une bête, toute l’extrémité de son peton est entrée dans ma bouche. J’ai envie de l’avaler, de m’étouffer avec. Ses spasmes de jouissance remontent le long de sa jambe et parviennent jusqu’à ma bouche.
Mais elle ressort son pied et me repousse violemment avec :
— Maintenant ça suffit, arrête, esclave !
Elle rajuste sa jupe.
— Et baisse les yeux. Je t’ai déjà dit de ne pas me regarder.
Et, alors que je fais mine de me relever :
— Non reste allongé pour l’instant !
Elle se relève, monte sur son lit.
— Tu regarderas lorsque je te le dirai, compris ?
— Compris.
— Compris qui ?
— Compris maîtresse.
— Qui t’a demandé de m’appeler « maîtresse » ? J’ai horreur de ce mot, je le trouve vulgaire. Tu as de bien belles fesses, tu mériterais une punition. Mais en tant que déesse je ne peux pas me compromettre avec un simple mortel.
Je n’ai toujours pas compris comment je dois l’appeler ni quelle attitude exacte adopter avec elle, elle ...