1. Un baiser forcé


    Datte: 07/03/2018, Catégories: fh, douche, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fouetfesse, Auteur: Roger Bichon, Source: Revebebe

    ... je la ramonais.
    
    Tant et si bien qu’un nouveau visage apparut bientôt devant la porte : Une jeune blonde, plutôt bien faite de sa personne qui nous regarda sans rien dire durant un bon moment, bientôt rejointe par une autre jeune femme, une métisse qui se joint à elle pour nous mater.
    
    Les deux femmes étaient scotchées devant la porte. Liane les regardait, ses yeux révulsés tournés vers elles, hors d’elle-même, complètement débridée :
    
    — Prends-moi le cul, prends-moi le cul, dit-elle bientôt. Encule-moi avec ta grosse pine, prends-moi comme une pute, insista-t-elle.
    
    Mais je ne pouvais déjà plus résister. Complètement hors de moi, j’éjaculai en elle, libérant toute ma semence dans son ventre. De son côté, elle venait de jouir une bonne dizaine de fois, depuis que les deux filles nous regardaient. Elles constituaient un étonnant catalyseur à son orgasme.
    
    Sans me laisser aucun répit, elle se désemboîta de mon vit, s’agenouilla dans la douche et emboucha de suite mon membre visqueux de nos sécrétions intimes, suscitant par la même occasion l’admiration à peine voilée de nos deux visiteuses.
    
    C’est l’ouverture de la porte d’à côté qui eut raison de leur curiosité. Elles se retrouvèrent comme deux connes en face du grand ...
    ... barbu qui n’ignorait rien de ce qui se passait dans notre cabine de douche. L’une d’entre elles, probablement la petite blonde, se sentit obligée de fournir quelques explications vaseuses, avant qu’il ne lui laisse la place. Quant à l’autre, elle fila directement dans la cabine du fond où elle s’enferma sans rien dire.
    
    On entendit le barbu sortir des douches en sifflotant, sans doute heureux d’avoir vécu cette bien curieuse expérience. Quant aux deux filles, Liane n’eut aucune pitié d’elles. Elle continua un bon moment à me pomper bruyamment puis quand il n’y eut plus rien à tirer de mon vit vidé de toute substance, elle ajouta très distinctement à l’intention de ces demoiselles :
    
    — Mais qu’est-ce qu’elle est bonne ta grosse tige ! Et qu’est ce qu’elle me baise bien ! On va retourner dans ma piaule, je connais mille moyens de te revigorer. Je veux que tu me baises toute la nuit et par les trois trous, je veux subir tous les sévices… Tu me rends salope comme la dernière des putes.
    
    Les autres, dans leurs cabines, devaient être blêmes.
    
    Ceci étant dit, nous avons ramassé nos affaires et traversé le couloir dans le plus simple appareil, et sans même prendre une petite douche, laissant aux deux donzelles le soin d’imaginer la suite. 
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