Un baiser forcé
Datte: 07/03/2018,
Catégories:
fh,
douche,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
Auteur: Roger Bichon, Source: Revebebe
... soif.
Elle voulait que je souille mes caleçons, alors je les ai bien souillés, abondamment, sans retenue, excité comme un fou par ce que je venais de vivre. Et j’ai recommencé le lendemain matin, au réveil. Puis une nouvelle fois vers 18h, juste en rentrant du boulot.
J’avais imaginé que je recommencerais peut-être une dernière fois avant de lui rendre visite, mais un copain est arrivé et ça a perturbé mes plans. J’ai d’ailleurs failli louper mon rendez-vous, j’ai dû mettre mon pote à la porte. En sortant j’ai choppé discrètement les trois caleçons souillés en les glissant dans une pochette.
J’ai frappé plusieurs fois à sa porte, mais personne n’a répondu. M’avait-elle posé un lapin ? Déçu j’allais m’en retourner, j’étais déjà à l’autre bout du couloir lorsqu’elle m’a interpellé :
— Quinze minutes de retard… et tu ne peux pas attendre cinq petites minutes !
J’ai fait demi-tour et, lorsque je suis entré dans sa chambrette, elle était déjà en train de nous préparer un thé. Plus rien à voir avec la fille de la veille ! Déjà dans son accoutrement, elle avait troqué sa jupette par un pantalon de soie. Pareil en haut, elle était habillée asiatique. Quelque chose aussi dans son attitude avait changé, mais je ne saurais trop dire quoi. Plus rien à voir avec la jeune fille fébrile du début, mais rien à voir non plus avec la déesse dont j’avais baisé les pieds.
— Un sucre ? Deux sucres ?
— Deux sucres.
— …
— J’ai apporté les preuves de mon adoration, ma déesse…
— ...
... Tu veux dire : Les preuves que tu es bien un petit cochon vicieux qui laisse des souillures partout. Tu vas me montrer ça. Mais pour l’instant, bois ton thé avant qu’il ne refroidisse… D’ailleurs, tu crois quoi, tu crois que je suis toujours ta déesse ? Non c’est fini tout ça. Il n’y a plus de déesse, il n’y en a jamais eu ! La déesse c’est du passé, faut t’en faire une raison. Au fait, tu as ramené ma petite culotte ?
— Euh, non, j’ai oublié !
— Je vais t’en donner une autre. Je me suis caressée juste avant que tu n’arrives. Alors, elle sent plutôt fort. Mais il faudra me les ramener toutes les deux, je n’en ai pas 36000… Si tu me montrais ce que tu as dans ton sac.
Je pose le plastique sur la table. Elle l’ouvre délicatement et sort les preuves de mon méfait.
— Humm, ces grandes taches de sperme. Tu n’as pas honte, petit cochon ?
Elle les porte à ses narines et les respire un long moment.
— Putain que ça sent fort ! T’as une odeur de bouc. Humm j’aime ça, ça sent le mâle. Regarde, celle là, il y a même une trace de caca. Tu pourrais quand même te laver les fesses quand tu chies. T’es dégueulasse, t’es bien comme tous les mecs.
Elle me donne vraiment la honte.
— Mets-toi debout devant la porte et retire ton pantalon ! J’aimerais vérifier si tu as les fesses propres. Simple inspection d’hygiène. Imagine que tu passes une visite médicale et que tu as les fesses sales.
Je dégrafe mon pantalon et le descends en même temps que mon caleçon.
— Qui t’as dit ...