1. Semaine 1


    Datte: 17/11/2024, Catégories: fagée, bizarre, forêt, campagne, collection, Oral journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe 

    ... pas en courant ?
— Ni l’un ni l’autre, promis.

Suzanne était toute rouge et je ne devais pas avoir l’air détendu. Elle se leva et fit glisser les bretelles de son maillot, découvrant sa poitrine. Elle avait deux œufs sur le plat qui pendaient un peu mais dont les grandes aréoles brunes me regardaient dans les yeux. Sa taille était fine et on voyait un petit ventre rond émerger du maillot.

— Je peux les toucher ? demandai-je le plus innocemment que je pus.
— Antoine, je n’oublie pas malgré ma conduite frivole que trente ans nous séparent. Je te les montre en échange d’un avis. Je suis sûre que tu es un homme de goût. Et ensuite, je vais me rhabiller.

Je pensais aux seins d’Alice et de Célia, à ceux de Laetitia et à aux gros nichons de Sidonie que j’avais plus qu’entrevu et cette femme qui se tenait timidement devant moi les seins nus était ce que j’avais vu de plus beau dans ma vie.

— Tu es très belle, Suzanne et quand Martin va voir ce que tu lui offres, il sera ton esclave pour toujours.
— ...
    ... Tu crois que je pourrai lui faire faire mon repassage ?
— Au moins.
— Antoine…
— …
— Antoine, on est bien ici, non ? Je crois que tu as envie de moi, maintenant, et je sais bien que c’est mal de faire ça, de te montrer mon corps et de me refuser mais ce serait tout gâcher tu sais. D’une part, tu mérites mieux et en plus tu vas repartir bientôt pour la ville. Ce n’est tout simplement pas possible. Est-ce que tu comprends ?
— Moi oui, mais mon sexe a du mal.
— Idiot ! dit-elle en riant et en attrapant sa robe pour la passer à nouveau. Il faut absolument te trouver une petite amie dans les jours qui viennent. Mais je ne crois pas pouvoir t’aider.

C’est sur cette image que je finis ma première semaine de travail. Dès que je ferme les yeux, je vois Suzanne qui me jette de l’eau, Suzanne qui me montre ses seins, Suzanne qui boit à la gourde. Cette femme toute simple m’a ensorcelé. Mais j’ai accepté la relation bizarre, il faut le dire, qu’elle m’a proposée. Maintenant, dodo car demain est un autre jour.
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