1. Semaine 1


    Datte: 17/11/2024, Catégories: fagée, bizarre, forêt, campagne, collection, Oral journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... regardais déjà son postérieur imposant en me demandant si cette fois-ci elle avait mis une culotte. J’avais vu en descendant de mon vélo que ses seins se baladaient librement sous sa blouse. Je me promis de ne pas m’attarder, mais je bandais déjà en passant la porte.
    
    — Tu sais, mon petit Antoine, me dit-elle en préparant le café, comme la dernière fois, tu devrais laisser ta nature s’exprimer. Tu es un vrai étalon et crois-moi, je connais les bonshommes.
    — Comment connaissez-vous mon prénom ? demandai-je alors stupidement.
    — La question est plutôt : qui ne parle pas de toi dans ce village ? Tu es sûr que tu ne veux pas tirer un petit coup vite fait pendant que le café chauffe ?
    
    Dès la porte passée, je m’étais assis sur une chaise, la même que la dernière fois. Oui, j’avais envie de tirer un coup, même avec cette femme grosse et laide mais non, je ne pouvais pas me résoudre à me lever pour soulever sa jupe comme elle me l’avait proposé la dernière fois. Je ne me voyais pas mais j’étais sûr que j’étais rouge comme une tomate. Je ne répondis rien, prêt à fuir dès que j’aurais bu son café au goût de brûlé.
    
    Mais elle ne m’en laissa pas l’occasion. Lorsqu’elle revint avec sa cafetière, elle se planta devant moi en me regardant attentivement.
    
    — Oh là là, dit-elle alors. Tu ne peux pas rester comme ça. Ton pantalon est beaucoup trop serré. C’est bien les jeunes de vouloir mettre des habits trop moulants sans penser aux conséquences. Laisse-moi faire.
    
    Et elle ...
    ... s’agenouilla devant moi pour défaire ma ceinture et baisser ma braguette. J’étais tétanisé. Je ne fis pas un geste, je ne dis pas un mot pour l’arrêter. Je regardais bêtement ma queue sortir de mon slip comme un diable hors de sa boîte, raide et gonflée. Je restais spectateur quand elle la prit dans sa main râpeuse et je ne fis rien non plus quand elle l’avala comme un sucre d’orge.
    
    Après, je n’étais plus moi-même, je n’étais qu’une bite en train de se faire sucer. Je gémissais et elle s’activait avec énergie. Elle avait visiblement beaucoup d’entraînement, sa langue était délicieuse et par moment, elle m’aspirait délicieusement le gland. Je fermais les yeux.
    
    — Tu es pressé, dit-elle en me recrachant un instant. Je vais faire vite, ne t’inquiète pas.
    
    Je ne répondis pas, une fois de plus. J’avais dépassé le stade de l’inquiétude. Elle se mit à accélérer ses succions, cette femme était une vraie machine à pomper et je tentais de résister au plaisir mais si on avait regardé un chronomètre, on aurait vu que je n’ai pas résisté plus de quelques minutes. Mon mutisme perdura jusque dans l’éjaculation. Je ne la prévins même pas et lâchai mon sperme dans sa bouche par longues décharges qui me vidaient les couilles et la tête en même temps.
    
    Je ne revins à moi que parce qu’elle me parlait.
    
    — Bois ton café, jeune homme, il va refroidir.
    
    Elle se tenait debout à côté de la table et se léchait les babines. Ma bite était toujours dressée, mais très propre. La seule trace de ce qui ...
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