1. Amour, business ou les deux ?


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, fbi, voisins, Collègues / Travail chantage, odeurs, Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... imprégnèrent la main du plaisir et mes jolies dentelles, surprise d’avoir joui aussi fort sans même me toucher le clitoris.
    
    Revenue sur terre je me redressai, embrassai langoureusement mon bienfaiteur, suçant ses lèvres, sa langue, puis l’entraînai dans ma chambre.
    
    — J’ai encore envie de toi, mon chéri, prends-moi, prends-moi comme tu en as envie, viens te répandre en moi !
    
    Bastien m’allongea sur le ventre, sous lequel il avait au préalable glissé les deux oreillers et les deux coussins du lit. J’étais offerte, les fesses écartées, les cuisses semi-fléchies, exposant au regard du mâle ma moule brillante et ma rosette à découvert.
    
    — Je n’avais encore jamais contemplé ton cul ainsi exposé, ma chérie, il est parfait, rond, ferme, c’est un appel aux caresses, aux excès. J’ai envie de te lécher, de te pénétrer, j’en ai mal de bander rien qu’à le regarder.
    — Il est à toi, honore-le, fais de moi une femme comblée, remplis-moi, viens !
    
    Mon amant me lécha et m’embrassa les fesses sans en négliger la moindre particule de peau, avant de me confier qu’il voulait faire mieux que Séverine. Sa langue sur mon anus sut trouver des points ultrasensibles, tournoya, s’introduisit, me faisant ronronner de plaisir.
    
    — Prends-moi maintenant !
    
    Je sentis son organe au maximum de la rigidité écarter mes lèvres et s’enfoncer dans mon vagin avec facilité tant ma cyprine l’avait préparé à cette intromission. Mais ce jour-là, j’en voulais plus, un seul homme m’avait jusqu’ici prise ...
    ... entre les fesses, c’était Julien. Bastien avait lui aussi mérité cette faveur, il s’était montré à la hauteur dans toutes les situations délicates récemment vécues avec lui, et je lui faisais confiance pour tout. Je tendis la main et me saisis de la verge gluante pour la guider hors de ma chatte dilatée, puis en présentai le gland décalotté à l’entrée de ma porte étroite.
    
    — Oh, Magali, je ne sais pas, tu es sûre ? J’ai peur de te faire mal… Je n’ai jamais fait cela, ce n’est pas indispensable, tu sais…
    — Tu as léché mon œillet plissé aussi bien que ma Séverine chérie, maintenant je veux que tu me sodomises comme Julien, le seul homme que j’ai accueilli par là jusqu’à présent. Sois doux, laisse-moi te guider vers ce plaisir nouveau.
    
    Je le sentis trembler, mais mes conseils lui permirent de franchir mon anneau et de s’introduire entièrement dans mon fondement. Je me sentais remplie, sereine, femme libérée et amoureuse. Après un moment d’immobilité, je donnai le rythme auquel je souhaitais que mon amant me possède, ce qu’il fit à merveille, avec douceur, me gratifiant de mots graveleux entremêlés de termes adorables, je fus tour à tour « sa femelle en chaleur, sa révélation de l’amour, son insatiable salope, la femme fantasmée désormais dans son lit et j’en passe… »
    
    Tout ceci nous mena ensemble au sommet du Mont des Orgasmes, il y eut des grondements, la foudre du plaisir nous étourdit, des cataractes de flux corporels se mêlèrent, le lit fut dévasté, et Séverine dut se ...