Amour, business ou les deux ?
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
fbi,
voisins,
Collègues / Travail
chantage,
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... veux, Mag !
— Voilà. Une partie de mes collègues ont appris, je ne sais comment, ma relation avec Séverine et se sont permis des commentaires désobligeants. Alors, pour couper court à ces ragots, est-ce que je peux me faire accompagner de Bastien à votre mariage ? Nous donnerons l’image d’un couple, et je me sentirai moins seule face à vous nageant dans le bonheur, vous comprenez ?
C’est Julien qui me répondit. Je savais que l’idée de témoin lui avait été « imposée » par Séverine, mais j’étais aussi certaine qu’à ses yeux, Bastien allait m’éloigner de sa femme et refaire de leur couple un ménage à deux.
— Sans aucun problème, Magali, ton ami est le bienvenu. Tu sais sans doute qu’au départ je n’étais pas enchanté que Séverine te veuille comme témoin, cela me mettait mal à l’aise de t’imaginer assister, seule, au mariage de celle que tu aimes, avec moi dans le mauvais rôle de celui qui te confisque ton amour. Je sais que ce sera, de toute manière, un moment difficile pour toi, mais tu nous connais, tu connais nos sentiments, on ne va pas tout d’un coup te rejeter parce qu’on se marie, tu restes pour nous une personne qui compte, tu as beaucoup fait pour Séverine, tu as été avec elle d’une grande douceur, d’une grande patience, tu l’as aidée à se reconstruire et ça je ne l’oublie pas.
Je ne pus retenir mes larmes et me précipitai vers eux, les enlaçant tous les deux de toutes mes forces, mais les mots ne vinrent pas, trop d’émotions. Nous restâmes ainsi un long ...
... moment, Julien me caressant les cheveux, Séverine essuyant mes larmes et les siennes avec beaucoup de pudeur, je n’ose dire beaucoup d’amour.
Le lundi matin, j’arrivai de bonne heure à mon bureau, avant Bastien, avec qui j’allais devoir continuer à cohabiter, mais sans que l’on ait évoqué la manière de vivre notre relation dans le cadre professionnel. Devais-je rester la « goudou » et conforter les ragots des saucisses en minijupe ? Devions-nous afficher notre idylle et faire taire les remarques fielleuses, ou les faire empirer ? Je ne savais pas quoi faire…
— Bonjour, Magali, vous avez passé un bon week-end ?
Le ton était donné, j’enchaînai donc logiquement.
— Oui, très bon, merci Bastien, et vous-même ?
— Oui oui, content de me reposer après ces trois jours intenses(clin d’œil). Mais, dites-moi, Magali, n’étions-nous pas convenus de nous tutoyer à l’issue de cet audit difficile ?
Dans le rôle du faux cul, il était impérial, et je compris pourquoi il avait laissé grande ouverte la porte qui nous séparait du secrétariat. Rusé, le membre du barreau… !
— Oh oui Bastien, c’est juste, mais vous savez – enfin, tu sais – je suis un peuold school et j’ai de la peine à tutoyer, mais je te promets de faire des efforts.
— OK. Fais comme tu le sens. Bon, on poursuit notre rapport, maintenant ?
Le coquin ! Il n’avait évidemment pas choisi son vocabulaire au hasard, heureusement que sonclin d’œil et ses gestes demeuraient invisibles depuis le bureau voisin, sinon la ...