Amour, business ou les deux ?
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
fbi,
voisins,
Collègues / Travail
chantage,
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... ?
— Oh, mon amour, tu es surdouée ! Mais tu ne veux pas l’entendre, de peur de quitter ta petite routine. Surdouée dans tes compétences professionnelles, mais aussi comme… enfin je veux dire… ou plutôt que… enfin là non plus ce n’est pas vraiment la routine…
Je ne le laissai pas terminer ses bredouillages de timide et m’agenouillai face à lui, mes jambes enserrant les siennes. Lentement, je l’allumai et déboutonnai en partie mon chemisier que je portai, comme souvent le week-end, à même la peau.
— Suce-moi les seins, grand timide, j’ai très envie de toi…
Sa langue se mit à dessiner sur ma gorge de gracieuses arabesques, laissant durcir mes tétons tendus vers sa bouche qui les emprisonna tour à tour, les suçant bruyamment, déclenchant en moi de formidables frissons de désir. Profitant de ce que ma position m’avait fait relever un peu ma jupe, Bastien glissa ses mains dessous et se mit à me peloter le cul, ce que j’adorais, ondulant des fesses pour accompagner ses caresses pendant qu’il me dévorait les seins.
Une de ses mains se perdit entre mes cuisses, et un doigt fureteur partit de mes fesses dont il suivit le sillon, creusant la soie qui protégeait mon pertuis et ma fente, s’attarda sur mon périnée pour un léger massage, puis remonta jusqu’au sommet de mon pubis, effleurant au passage mon petit bourgeon encore à l’abri sous le fin tissu. Le doigt repartit en sens inverse, forçant toujours plus l’étoffe à entrer en contact avec mes orifices, alors que mes ...
... mamelons tressautaient sous la légère morsure qui leur était infligée. Ma tête au creux de son épaule, je m’abandonnai à Bastien.
— Oh, mon chéri, c’est divin… Continue, prends ton temps, fais-moi couler d’impatience…
Après plusieurs parcours qui affolèrent mes sens, le doigt franchit au niveau de mon périnée le liseré de dentelle ornant le sous-vêtement puis, avec une insupportable lenteur, remonta vers ma source humide dont il écarta les bords pour s’y glisser entièrement. Mes chairs se contractèrent autour de cet intrus, tentèrent de le noyer dans un flot épais, mais il se retira, enduit de mes sucs et parfums les plus suaves. Le visiteur, débouté, mais pas encore rassasié d’aventures, rampa traîtreusement jusqu’au bas de ma vallée profonde qu’il remonta, jusqu’à se retrouver sur mon petit anneau plissé.
— Tu veux, ma chérie ? Tu en as envie ?
— Oh oui, Bastien, oui, j’ai encore le souvenir de ta langue là… Ouvre-moi de ton doigt !
Après quelques petits cercles pour déjouer la vigilance du sphincter gardien de mon cul, je sentis le doigt progresser dans mon étroit conduit, centimètre par centimètre il écartelait ma muqueuse, progressant inexorablement, me rendant folle de désir.
— Oh, Bastien, il est tout entier en moi… je crois que je vais jouir… bouge un peu, mon chéri…
Une fulgurance érotique me traversa, un orgasme puissant s’ensuivit, je feulai dans le cou de mon amant, incapable de réprimer les contractions de mes chairs intimes ni les fuites qui ...