Amour, business ou les deux ?
Datte: 16/05/2024,
Catégories:
fh,
fbi,
voisins,
Collègues / Travail
chantage,
odeurs,
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
totalsexe,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... Magali lui reprit sa culotte des mains. Sans un mot elle passa derrière Bastien, déboutonna son pantalon, en sortit le membre apoplectique qu’elle se mit à masturber lentement. Le sentant prêt à exploser, de sa main libre, elle enveloppa le gland dans la culotte et lui dit à l’oreille :
— Je te branle pour que tu jouisses juste à l’endroit qui habille ma petite rondelle interdite… Ferme les yeux, concentre-toi, et imagine que tu gicles sur mon anneau plissé, celui que tu viens juste de gougnoter pour ta Sublime Salope. Allez, crache, dépose ta liqueur épaisse dans le petit cratère de soie de la prude Magali…
Je sentis mon amant se tendre comme un arc, se retenir de hurler quand sa semence brûlante jaillit, si abondante que j’en sentis la chaleur au travers du tissu. J’attendis que sa queue débande, qu’il se rhabille et je lui montrai le gousset de mon cache-sexe, souillé de son sperme épais.
— Tu es généreux, mais j’aurais bien aimé le sentir couler entre mes fesses, puis que tu l’étales de ton doigt sur ma petite fleur sombre… Mmm… Bon, on va bosser ?
Le concierge qui viderait les poubelles le lendemain raconterait sans doute un peu partout qu’il avait trouvé un sous-vêtement féminin pollué, que c’était un scandale, que les gens ne pensaient qu’à baiser, mais comme mon nom n’était pas cousu dedans, je m’en foutais.
Nous remontâmes travailler, en collègues ordinaires. La journée achevée, chacun repartit de son côté, l’esprit en proie à de multiples doutes ...
... jusqu’à notre prochaine discussion. Comme ce week-end-là Bastien n’avait pas la garde de ses enfants, il resterait donc chez moi dès le vendredi soir. J’imaginais bien que nous allions reparler boulot, projets, mais j’avais des conditions préalables à toute initiative d’association, ne voulant pas risquer de me retrouver dans une situation déprimante, seule, fauchée. Je voulais au minimum la ceinture et les bretelles, et n’avais pas l’intention d’investir mes maigres économies dans une aventure aussi risquée.
En effet, le samedi matin Bastien m’exposa son « business plan », cela semblait jouable.
Nous étions assis dans le canapé, côte à côte, consultant avec sérieux les documents posés sur la table basse. Je les parcourus attentivement, c’était clair, précis.
— Mais où trouves-tu l’argent pour financer le départ ? Il faut louer des locaux, les meubler, acheter du matériel informatique…
— Je sais, et j’ai rendez-vous en fin de semaine avec deux banques pour en parler. Rassure-toi, je ne te demande pas d’investir le moindre euro, je sais que tu ne souhaites pas prendre de risques.
— Ça dépend pour quoi, ou pour qui… mais en règle générale je suis en effet plutôt prudente. Si je récapitule, dès que les banques t’auront donné le feu vert, tu souhaiterais que nous démissionnions tous les deux ?
— Oui, parce que sans toi je ne peux rien faire, tu es aussi l’âme du projet. Sans tes compétences, l’affaire n’a aucun sens, et je n’y songe même pas.
— Je suis aussi douée que ça ...