1. Amour, business ou les deux ?


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, fbi, voisins, Collègues / Travail chantage, odeurs, Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... revenu vont à mon ex-femme qui a réduit son temps de travail pour aller se faire baiser plus souvent. Cerise sur le gâteau, cette conne a soudain décidé que nos enfants devaient fréquenter un lycée privé jusqu’au bac. Et vas-y Bastien, crache ! Désolé, Magali, mais pour moi c’est insupportable, je ne peux pas me soumettre à ces diktats de merde prononcés par ce trio de féministes à la con, qui veulent juste « casser du mâle ».
    — Oh là… Dr Macho tombe le masque, on dirait. ! Si juge et avocat avaient été des mecs, tu aurais mieux accepté le verdict ? N’oublie pas que ma relation avec les femmes est un peu différente de la tienne, Maître Macho. Et donc, c’est bien ce que je disais, tu es rongé par la vengeance, le grand fauve se réveille et veut montrer aux femelles ce dont il est capable. Mais moi, là-dedans, je suis où, je fais quoi ? Je t’aide à assouvir tes pulsions et on partage les bénéfices ? À moins que lestatu quo fasse loi, vu que ton salaire actuel est 20 % supérieur au mien pour un poste équivalent de chef de service, tu m’engagerais à quel prix ?
    — Tu connais mon salaire ? Mais… pourtant c’est… confidentiel…
    — Je sais, mais toutes les femmes de la boîte ne sont pas des truffes en informatique comme tu le dis, il y en a qui savent entrer dans un serveur mal sécurisé, aussi facilement que dans l’âme de leur amant(Sourire ironique).
    — Là, tu me rassures, je retrouve la femme d’affaires intraitable, qui ne négocie pas sur certaines valeurs, la garce en habits de ...
    ... princesse… Tu m’excites, tu sais… Si on n’était pas dans un lieu public, je me glisserais sous la table, j’écarterai ton joli string rouge et je te lécherais la chatte jusqu’à ce que tu me jouisses dessus en hurlant, me crépissant le visage de ta mouille, tes cuisses emprisonnant ma tête…Mmmmm…
    — Arrête Bastien, tu triches là… C’est pas digne de toi… Tu ne m’auras pas comme ça… Mange maintenant, oublie ma chatte, espèce d’obsédé !
    — Oui oui, je mange, mais je préférerais te manger l’abricot, lécher ton jus, avant de t’embrasser, encore tout collant de tes sucs, et je reboutonnerais ta robe de femme innocente, t’obligeant à te promener au bureau le cul et la moule à l’air tout le reste de la journée, me faisant bander rien que d’y penser.
    — Salaud, je suis tout humide maintenant, je vais finir mon repas assise sur une éponge trempée, de ta faute… Donne-moi la serviette de la table à côté, que je ne sois pas rouge de honte en quittant ma chaise.
    
    De retour à l’entreprise, à la fois énervée et excitée, je me trompai intentionnellement de bouton d’ascenseur et nous nous retrouvâmes au sous-sol, mal éclairé. Je saisis fermement mon amant par la cravate et le tirai dehors, jusqu’à une porte dérobée : local technique, entrée interdite. Possédant un passe je l’ouvris et m’y engouffrai, ma proie toujours tenue en laisse par sa cravate. La pièce était vaste, remplie d’armoires aux voyants clignotants qui diffusaient une lumière intermittente, étrange, façon vaisseau spatial.
    
    Je ...
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