1. Amour, business ou les deux ?


    Datte: 16/05/2024, Catégories: fh, fbi, voisins, Collègues / Travail chantage, odeurs, Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Femmophile, Source: Revebebe

    ... libérai mon prisonnier plutôt consentant, enlevai ma culotte odorante et la lui plaquai sur le visage, le rendant aveugle.
    
    — Tiens-la comme ça, je te dirai quand tu pourras regarder.
    
    Un tuyau courait le long du mur à mi-hauteur, j’y posai mes mains, relevai ma robe sur mes reins et me cambrai exagérément.
    
    — Glisse mon string dans ton slip, je veux qu’il touche ta queue, et viens me lécher, à genoux, pour te faire pardonner tes horreurs.
    — Tu es sérieuse ? Qu’est-ce qu’on fait là, ma chérie, tu n’en fais pas un peu trop cette fois ? Je suis joueur, d’accord, mais là on dépasse un peu mes limites…
    — On négocie. Tu viens me bouffer la chatte, ou on remonte ?
    
    Craignant le pire, car il me croyait capable de tout, Bastien s’agenouilla derrière moi assez timidement et posa ses mains sur mes fesses.
    
    — Tes mains je m’en fous, c’est ta langue que je veux, tu étais plus bavard au restaurant. Elle sent trop fort pour toi, ma chatte de Sublime Salope ? Il ne te fait plus bander mon jus ? C’était que des mots ? Lèche-moi maintenant !
    
    Résigné, Bastien m’honora du mieux qu’il le pouvait, à genoux sur le béton. Mon intimité d’imprévisible maîtresse était luisante de cyprine, j’étais très excitée par ma petite mise en scène dedomina amatrice. Il me lécha tendrement, avec application, mais quand il voulut atteindre mon clitoris je le tirai en arrière par les cheveux, assez brutalement.
    
    — C’est pas mal pour un mec, tu te débrouilles bien, mais je ne veux pas jouir comme ...
    ... ça. Maintenant, tu vas me « gougnoter le cul » comme ma voisine, puisque c’est comme ça que tu parles. On va voir si tu es aussi doué que ma Séverine chérie à qui tu as gravement manqué de respect.
    
    Malgré l’éclairage irrégulier, je lus la stupeur sur son visage. Il devait s’attendre à ce que j’éclate de rire en arguant la plaisanterie, mais après quelques secondes il comprit mes véritables intentions, et ma détermination à les lui imposer.
    
    — Bon, alors, il te faut un mode d’emploi ? Tu n’as jamais léché un cul ? Tu n’as jamais fait une jolie feuille de rose à ta bourgeoise ? C’est interdit dans le code pénal et condamné par le clergé ? Il est où le problème ?
    — Non, Magali, non, mais je ne veux pas le faire.
    
    Je me redressai, impériale, puis lui demandai de me rendre ma culotte.
    
    — J’espère que tu n’as pas joui dedans au moins ?
    — Non, je sais me retenir.
    — Dommage, tu viens de perdre une associée. Moi qui croyais que tu apprécierais mon cul, je constate que tu es un timide, et pas un bon négociateur. Tu sais recevoir, mais pas donner sans retenue. Pas bon pour le business, ça…
    
    J’allai ouvrir la porte quand Bastien soupira, glissa ses mains sous ma robe et descendit ma culotte.
    
    — Penche-toi comme avant, Reine des Salopes, et tends-moi ton cul de gouinasse. Tu ne vas pas regretter ta petite voisine !
    
    Bastien laissa courir sa langue dans mon sillon fessier, l’humidifiant de sa salive, remontant de ma chatte en feu jusqu’au creux de mes reins, je gémissais ...
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