1. Mutinerie au Congo, Chapitre 04


    Datte: 10/02/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... féminins et d'une blancheur divine sous la nuit étoilée, toujours au son des tam-tams et à la lueur des feux.
    
    Certains soldats font rôtir des guimauves au feu en se délectant du spectacle. Ils ont pris ça à un officier Blanc, qui avait lui-même pris ça à des soldats canadiens pendant la dernière grande guerre. La guimauve rôtie au feu de camp... une fois qu'on y a goûté, on ne s'en passe plus.
    
    « C'est comme les Blanches! » lance un soldat, et tous rient en mangeant leur guimauve pour ensuite arroser le tout de bière de banane. La guimauve, chaude, dorée et fondante, est savoureuse, et le spectacle l'est infiniment plus.
    
    Une petite foule contemple la nudité de Véronique, magnifique dans sa jeunesse agenouillée; elle est toujours prise entre les deux mutins, le premier debout devant elle qui brandit sa verge triomphante sous son nez de fille dégoûtée, et le second à genoux derrière elle, histoire de savourer la beauté lactée de ses fesses pleines, sous lesquelles le nègre aperçoit les coussinets de ses pieds. Comme c'est beau, une Blanche nue! Encore mieux qu'il l'imaginait!
    
    La jeune fille agenouillée pleure doucement. L'homme debout devant elle lui fait comprendre qu'elle doit l'accueillir dans sa jolie bouche de lycéenne, tandis que l'autre nègre lui caresse les fesses, les jambes et les pieds de ses mains tropicales qui jettent bas les tabous coloniaux partout au-dessous de sa taille d'Ève.
    
    La figure de Véronique est magnifique à voir, avec sa bouche toute ...
    ... pleine de cette verge africaine qu'elle est obligée de servir. L'homme lui a rappelé l'interdiction de mordre, et elle ne veut pas savoir quel châtiment horrible lui serait infligé si elle s'avisait de se rebeller. Elle essaie de se convaincre que le goût n'est pas si mauvais que ça, sans y parvenir.
    
    Elle sent la main du premier nègre lui caresser très doucement les cheveux, et le second qui la caresse aux fesses et aux jambes, ce qui procure d'agréables sensations à son corps de petite femme; des sensations inédites pour elle, encore vierge en début d'après-midi. Véronique trouve que ce jeu de salope est moins pire que d'être étendue à se faire brutalement pilonner, et elle décide de coopérer, pour la plus grande joie des spectateurs, qui l'applaudissent et la sifflent en la traitant du traditionnel qualificatif de « salope blanche ».
    
    Véronique regarde le nègre, colosse majestueux qui la domine de toute sa taille, pendant qu'elle donne à sa grosse bite le plaisir de son va-et-vient buccal. Les yeux de Véronique l'implorent d'être doux avec elle, et elle lui masse la bite d'une main caressante, et novice aussi. De son autre main, elle caresse la main du second nègre et l'encourage à continuer de lui caresser les fesses et les hanches. Elle est bien obligée de reconnaître qu'elle préfère cette douceur sensuelle à la brutalité des viols, dont elle redoute le retour qu'elle sent prochain.
    
    « Regardez-la, les gars... Une vraie petite salope! »
    
    « Une gourgandine confirmée! ...
«12...567...11»