1. Mutinerie au Congo, Chapitre 04


    Datte: 10/02/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... ses douces mains. Véronique! Comme elle est belle et douce!
    
    « Pauline, ne me laisse pas seule; j'ai si peur! » murmure Véronique en lui caressant sa noire chevelure sans réel désir, beaucoup plus par affection et amitié, tandis que Pauline se sent de plus en plus excitée au contact doux et chaleureux, réconfortant des seins de son amie et compagne d'infortune.
    
    Pauline sent soudain une main, une main d'homme se poser sur le flanc droit de ses fesses. L'homme fait des commentaires en lingala, langue qu'elle comprend; il trouve son cul un peu trop maigre, mais elle a la peau vraiment douce, et ses jambes sont longues et magnifiques, et surtout, elle est la fille d'un officier blanc.
    
    En entendant parler de son père, Pauline se réjouit qu'il ne soit pas là pour la voir ainsi, devenue le jouet sexuel des soldats en révolte.
    
    Véronique se met à crier à tue-tête en appelant faiblement Pauline à son secours; deux jeunes soldats, nus, lui ont saisi les bras et bientôt, ils sont au sol avec elle et l'enlacent dans leurs bras d'ébène. Elle en a un qui lui suce les seins tandis que l'autre lui lèche les fesses, ces belles fesses toutes pleines de cette blancheur européenne qui fascine tant les mutins. Les deux jeunes soldats ont chacun sa verge gonflée à bloc; la suite est aussi prévisible qu'inévitable.
    
    « Ahh, noooon! Pas encore! Pas encore! Arrêtez, non, j'vous en prie, non! » fait Véronique, résignée.
    
    Un peu plus loin, Lucie est saisie par trois Noirs souriants, et ...
    ... les supplie d'arrêter en sachant trop bien qu'ils n'en feront rien. Près d'elle, Isabelle doit endurer mille caresses, de ses pieds jusques à ses cheveux, que la nuit a rendus plus bruns qu'auburn.
    
    Ça recommence. Il faut violer les Blanches sous les étoiles d'Afrique, au son des tam-tams.
    
    Le jeune lieutenant, flanqué du gros adjudant joufflu, annonce aux filles qu'ils vont leur donner à souper à condition qu'elles soient de bonnes petites Blanches bien obéissantes. Elles devront surtout être de bonnes suceuses de bites, faute de quoi elles iront se coucher l'estomac vide avec du « lait de coco » congolais comme seule nourriture...
    
    « Et vous en recevrez une autre ration bien généreuse, et chaude, demain matin au déjeuner*, je vous le garantis sur facture! HA! HA! HA! HA! » (*le repas du matin chez les Belges)
    
    Le lieutenant ricane avec ses hommes tandis que Pauline, placée à quatre pattes, ne résiste pas quand son joyeux soldat la pénètre par derrière et commence à lui « faire l'amour ».
    
    Il profite d'elle dans un doux va-et-vient; il ne veut pas trop se dépenser, car il vient juste de manger, et il n'est pas certain non plus de pouvoir aller jusqu'à l'éjaculation, car il a déjà violé Véronique, puis éjaculé sur les seins de la mère à Lucie en après-midi. Dieu que c'était bon!
    
    L'homme aux larges épaules savoure ce doux plaisir en admirant les jolies petites fesses de Pauline, petites, certes, mais qui n'en dessinent pas moins une paire d'arrondis parfaitement ...
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