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Mutinerie au Congo, Chapitre 04
Datte: 10/02/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... fille du commandant Gilles LeBlanc est goûtée et savourée sous toutes ses coutures. Ceux qui l'ont capturée en après-midi racontent avec plaisir comment ils l'ont déshabillée tandis qu'elle criait « maman! maman! maman! maman! maman! maman! » en hurlant. Quand tout sera fini, vers minuit, ils lui donneront de la guimauve grillée, la pauvre! Béatrice voit et entend avec dégoût et mépris son mari qui lâche un gros postillon en l'air et pousse un râle de satisfaction quand il éjacule avec force et fureur en Véronique, qui savoure chaque goutte chaude de l'éruption massive. Pendant qu'elle reçoit cette éruption, l'adolescente se penche en avant et embrasse Gilles en l'enlaçant de ses bras épuisés. « Je t'aime! Je t'aime! Je t'ai toujours aimé, mon commandant... » fait Véronique en l'embrassant, toute pantelante. « Je suis à toi, mon commandant. Tu pourras me refaire ça chaque fois que tu en auras envie! Quand on sera revenu à Bruxelles, je veux que tu me violes sur ton bureau! » Béatrice est livide de rage. Le fait d'être agenouillée, nue comme sa fille, et soumise à un déluge d'opprobre n'est rien pour elle. Les soldats n'osent absolument pas affronter sa bouche. De toute façon, Anne LeBlanc est là tout près, bien docile à présent; la jeune fille pleure pendant qu'on lui donne à sucer. Elle pleure parce que son père vient de la tromper. Les nègres se mettent en devoir de la consoler avec la chaleur de leurs bites qui se pressent autour d'elle. Le beau petit corps d'Anne va finir sous une épaisse couche de sperme congolais, au son des tam-tams. C'est le sort réservé aux plus belles Blanches de Camp Hardy en ce fatidique soir du 11 juillet 1960. Les années cinquante sont finies. À SUIVRE