Mutinerie au Congo, Chapitre 04
Datte: 10/02/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... »
« Son papa a dû bien l'entraîner; les Belges sont tous des cochons qui profitent de leurs filles! »
Pauline, elle-même possédée en levrette, secouée à souhait dans le désordre de ses cheveux, assiste à cette séance de fellation à laquelle Véronique se prête, à genoux entre les deux nègres avec sa nudité qui forme un contraste blanc colonial. Derrière elle, Pauline sent et entend son pseudo-amoureux qui la secoue et halète en poussant des grognements sourds; elle a déjà assez d'expérience pour savoir que la décharge de semence va bientôt lui être livrée. Elle gémit de plaisir, tout excitée de voir sa belle Véronique sucer un nègre bien pourvu.
Elle entend Lucie qui braille et proteste, mais elle ne voit pas ce qu'on lui fait. Elle sent les mains du nègre se crisper à sa taille et il pousse un grand râle en l'inondant de ses jets de sperme. Pauline songe à Sonny Liston et ressent un plaisir diffus et fatigué en s'imaginant que c'est lui, le gros boxeur poids lourd, qui lui balance sa décharge en plein milieu d'un ring mal famé.
Véronique, tandis que le second soldat poursuit ses douces caresses derrière elle, sent le premier soldat qui s'emballe, et son pénis bandé se met à palpiter d'une façon inquiétante dans sa bouche. Elle sent aussi les mains de cet homme se crisper sur sa tête, et soudain il lui tire un peu les cheveux, dont il se sert comme de poignées, pour lui imposer un va-et-vient accéléré. Le sperme va bientôt sortir, elle le sait et se prépare ...
... mentalement au goût infect.
Mais le grand Congolais lui épargne cette épreuve. Il sort soudainement de sa bouche, lâche un grand juron en lingala, puis crie sa jouissance et jouit à longs traits, chauds et sirupeux, qu'il fait puissamment gicler sur les seins de Véronique, aspergeant un mamelon et recouvrant ce sein presque complètement de la couche gluante de son triomphe aussi puissant qu'olfactif.
Véronique, au milieu de ses pleurs, songe que c'est quelque chose qu'une bande de motards lui ferait s'ils la violaient dans un petit sous-bois près de la Route 66. Ce fantasme la fait se sentir excitée de se faire napper les seins de cette chaude gluance. D'un coup de tête, elle décide qu'elle ira aux États-Unis et que 1961 ou 1962 sera une très bonne année pour se faire violer par une bande de motards; ce sera son pèlerinage et elle en reviendra guérie. Tout ça lui semble logique. Un poison qui guérit d'un autre poison. Elle n'a pas le temps de penser davantage. Le premier nègre s'est retiré, satisfait, et le second lui pousse gentiment le dos pour lui faire comprendre qu'elle doit maintenant se mettre à quatre pattes, ce qu'elle fait sans résistance. Elle entend encore des voix qui la traitent de salope blanche pendant que l'homme pousse sa bite dans son sexe assez excité pour offrir une entrée en douceur.
Véronique s'imagine que l'homme qu'elle aime est là, tenu en respect par des motards, pendant que toute la bande est en train de lui passer dessus. Ça, ça l'excite ...