La Corotte de Tchotchon (1)
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... femme.
— Bon Dieu ! Tu vas la boucler oui ? Allons… une femme est une femme et tu es là aussi pour ça. Que vont dire nos enfants s’ils t’entendent hurler de la sorte ? Merde, viens ici.
Dans son délire, il m’avait posé sa main sur la bouche et je ne pouvais plus dire un mot. De plus, il était fort le bougre. L’alcool décuplait ses forces également, et surtout le rendait sourd à tous mes cris. Sa pogne de libre fouillait sous ma chemise de nuit en coton. Les doigts fourrageaient déjà dans le buisson de poils sombres qui masquait mon sexe. Et il était lourd, m’interdisant le moindre geste pour me défendre. Il ne s’embarrassait d’aucune fioriture, et me crucifiant sur ma couche, son bassin avançait vers le mien.
Je ne retiendrai que l’immense douleur, tel un coup de poignard me déchirant le bas du ventre. Puis les gestes plus cadencés prolongeant cette sensation de souffrance extrême, la respiration sur mon visage, je hurlais sans que mon père fasse mine de comprendre. C’était bien cette nuit-là que je perdais ma virginité, dans les bras d’un père ivrogne qui me confondait avec sa défunte épouse. Au bout de plusieurs aller et retour, il s’était simplement retiré du calice et sa semence maculait mon ventre. Il ahanait, essoufflé, mais presque joyeux.
— C’est toujours aussi bon… nous n’attendrons plus aussi longtemps pour le refaire… hein ! D’accord ma Jeanne. ? Bon ! Il est l’heure de dormir ! Le travail de demain ne se fera pas tout seul.
Je ne pouvais plus ...
... articuler une seule phrase. Rien ne sortait de ma gorge. Mon propre père venait de me baiser et je n’avais pas réagi sainement. Sa respiration revenait à la normale et sa main calleuse restait collée sur un de mes seins. Je me retournais prête à lui cogner la tête avec la lampe de chevet. Mais dans mon crâne tout se bousculait. À cause de moi, il avait perdu sa femme… parce que je n’étais pas allée assez rapidement chercher le docteur. C’était donc ma punition ! Et finalement, moi aussi, je me tournais de l’autre côté du lit.
J’échappais ainsi à sa patte sur ma poitrine et je pouvais tout à loisir, laisser mes sanglots éclater. Papa n’en percevrait pas un seul. Il dormait déjà, paisible et heureux d’avoir remis son corps en phase avec son esprit ? Dans ma caboche pourtant, tout tournait à une vitesse effrayante. Je n’arrivais plus à trouver un sommeil réparateur. Que faire, que dire ? Ma première réaction aurait dû être d’aller courir au petit jour chez le médecin, ou les gendarmes.
Au lieu de celle-là, je restais prostrée au lit alors que l’aube affichait ses lueurs clarteuses. À mes côtés, la bête dormait toujours. Et son éveil se faisait d’une bien étrange façon. Sa main retrouvait mon sein, s’y prélassait, le malaxant sans vergogne. Je tentais de fuir en me tournant de manière à ne lui présenter que ma croupe. C’était sans connaitre les desseins de cet homme qui se réveillait lentement. En m’agrippant par les hanches, il eut tôt fait de frotter sa queue à mes fesses ...