La Corotte de Tchotchon (1)
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... ».
— oooOOooo —
Un soir de trop d’ivresse, je devais une fois encore coucher papa. Celui-ci, rond comme une queue de pelle avait roulé sur le sol de la cuisine. Décemment, je ne pouvais pas le laisser cuver là. N’écoutant que mon courage, je le relevais tant bien que mal. Et dans sa soulographie, il s’était aidé de ses grosses mains pour se cramponner à mon cou. Finalement, au prix de beaucoup d’efforts, il avait atterri sur son lit dans la petite pièce attenante à la cuisine. Je pestais contre ce poids mort qui ne faisait rien pour me simplifier la tâche. Et lui marmonnait des mots sans suite, perdu dans ses pensées d’homme bourré.
Ses croquenots retirés, j’avais simplement ouvert sa ceinture et déboutonné sa chemise, pour qu’il soit confortablement installé pour digérer son trop-plein de pinard. Il me retenait un moment de ses doigts noués autour de ma nuque, par je ne sais quel hasard. Et impression curieuse, sa bouche avinée s’était aventurée sur ma joue. Il m’avait semblé entendre le prénom que papa murmurait dans son délire alcoolisé.
— Jeanne ! Ma Jeanne, comme tu me manques.
—… ?
Je n’insistais que pour défaire ces pattes qui me retenaient contre lui.
— Bon sang, papa ! Tu veux bien me lâcher ? J’ai encore une montagne de boulot.
—… nnnn…
Ce qu’il avait dit était incompréhensible et j’avais fini par me libérer de son emprise dérangeante. Je finissais ensuite mon ouvrage, tout en gardant un œil sur ce soiffard qui dormait. La porte ...
... entrebâillée de la chambre où il reposait, je pouvais donc suivre l’évolution de sa cuite. Finalement, il avait l’air de se tenir à carreaux et la remise en ordre de la cuisine terminée, il était temps que j’aille dormir moi aussi. Un peu de repos ne serait pas du luxe. Je fermais donc les yeux en me promettant d’avoir une discussion franche et ferme demain avec lui.
À quelle heure de la nuit m’étais-je rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond ? Je n’en savais rien, mais dans le noir, il m’avait paru que quelque chose m’avait frôlé le visage. Notre vieux chat « Louison » serait-il entré dans ma chambre ? Ou bien était-ce encore un de ces cauchemars qui avaient tendance à me perturber de plus en plus souvent depuis quelques semaines ? J’allais allumer la lampe de chevet et tâtonnais pour en retrouver l’interrupteur. Une sorte de terreur m’envahissait alors qu’une grosse patte me saisissait soudain le poignet.
— Jeanne ! Ne bouge pas ma Jeanne. Il y a si longtemps que nous n’avons pas fait ça !
— Mais… papa, papa bon sang ! Qu’est-ce que tu fiches dans ma chambre à te vautrer sur moi ?
— J’ai besoin de toi ma chérie… je ne suis qu’un homme après tout.
— Arrête ! Je ne suis pas maman ! Mais tu me fais mal, tu es trop lourd, trop bourré pour te rendre compte ? Non !
— Chut ! Jeanne, je bande comme un âne depuis trop longtemps… j’ai besoin de sexe pour me remettre les idées en place… je te jure que ça ira mieux après.
— Papa ! Je ne suis que ta fille, pas ta ...