La Corotte de Tchotchon (1)
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... devenues d’un coup, plus disponibles.
Et ce qui devait arriver arriva. Sans aucune douleur autre que celle très légère de l’intromission, il logeait son pénis en moi. Il me maintenait fermement le derrière contre sa bedaine et chaque avancée me creusait plus profondément. Curieusement, quelque part, un contingent de moi se libérait. La peur de cette entrée dans mon ventre s’éloignait et il survenait un évènement non prévu. Tout mon corps se mettait à participer, malgré le refus de mon esprit, à cette chevauchée répugnante. Je la jugeais même de moins en moins abjecte soudain.
Je songeais que ce que nous faisions s’apparentait à une absolution. Un moyen de payer la faute que j’avais commise, et surtout, mon foutu ventre répondait aux sollicitations de son laboureur par des tressaillements inédits. Je ne comprenais pas totalement ce qui le mettait en émoi, ce qui provoquait ces frémissements, mais je devais avouer qu’une transformation s’opérait jusqu’au tréfonds de mon cerveau. Ce que je prenais pour du dégout se muait peu à peu en une douce attente.
Ce matin-là, malgré le fait que ce soit mon père qui me prenait, je me sentais transportée dans un univers dont le sexe ouvrait une porte inédite. J’avais sans doute râlé suffisamment fort pour qu’il vienne rapidement. Et lorsque sa main, après qu’il m’eut à nouveau inondé les fesses d’une substance chaude et gluante, avait caressé mon épiderme dans un geste tendre, je savais déjà que mon corps m’avait trahi. Que ce que ...
... nous étions en train de finir là, dans ma couche, recommencerait à la première occasion.
— oooOOooo —
Le petit déjeuner de ce premier matin se gravait en moi comme une marque au fer rouge. Papa était d’une gentillesse étrange. Elle tranchait avec sa rudesse et ses gueules de bois des jours précédents. En coupant une large tranche dans la miche de pain, il me suivait des yeux. Quand il ouvrit la bouche… les mots qui en tombèrent avaient un effet surprenant sur moi.
— Personne ne doit savoir Caroline… pour nous deux ! Tu comprends ?
—… ?
— Eh bien ? Tu as perdu ta langue ? Je te promets de ne plus boire un verre… mais…
— Mais ?
— En contrepartie, tu viendras installer tes affaires dans la commode de notre chambre à ta mère et moi. Nous allons continuer à vivre comme mari et femme. Pas un mot aux visiteurs si nous en avons.
— Et quand Louis rentrera ? Lui non plus ne doit pas être au courant ? Pas savoir ?
— Surtout Louis. Tu connais son caractère ombrageux, il pourrait bien prendre la mouche. De toute façon, quand il rentrera… il aura à cœur de fonder sa propre famille. La rouquine des « Villemann », sa Lydie lui courait après et je crois qu’elle fera une bonne épouse pour Louis… une bonne mère pour ses enfants à venir.
— Je n’en veux pas… moi !
— Qu’est-ce que tu ne veux pas ?
— D’enfants… je ne sais pas comment nous expliquerions… un ballon pour mon ventre !
— Ouais… tu as sans doute raison. Bon c’est pas tout ça, mais les patates sont ...