Accident de parcours
Datte: 18/10/2023,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe
... l’appartement est presque remis à neuf, il ne reste que les inscriptions aux murs, on attend le verdict de l’assurance pour savoir s’ils vont prendre en charge ou pas, mais il y a peu d’espoir.
— Ne t’inquiète pas, s’il faut repeindre, je m’en occuperai, annonce son père avec fermeté. D'ailleurs je suis déjà passé chez Leroy Merlin.
— Papa, tu en as déjà tellement fait, proteste sa fille.
— Tu ne vas quand même pas revenir ici et te ronger les sangs sur ces mots orduriers ! Ça me met en colère à chaque fois que je tombe dessus.
Le soir venu, je lance un feu de cheminée, il fait plus froid dehors. Nous sommes sagement assis sur le canapé, ambiance cocooning devant l’âtre crépitant.
— Dire que vous m’avez même acheté des petites culottes.
— Vous en aviez besoin et celles-ci avaient l’air de franchement vous plaire.
— Aucun garçon ne m’a jamais offert de sous-vêtements et c’est vrai que ceux-là étaient plutôt chouettes.
— Tant mieux si ça vous fait plaisir.
— Plus que plaisir, je suis aux anges, ces vacances avec vous, je ne pouvais rêver mieux.
— Moi aussi, je vous apprécie, Natacha.
— Vous m’appréciez jusqu’à quel point ? Vous n’avez jamais eu envie de vous faire la petite nunuche ?
— Quelle nunuche ? Pourquoi nunuche ? Vous voyez une nunuche, vous, ici ? Arrêtez de vous dévaloriser comme ça.
— Je suis lucide, je sais que je suis un boudin, sinon l’autre ne l’aurait pas dit ! En tout cas, je veux que vous sachiez que, si vous aviez envie de moi, je ne ...
... dirais pas non. En plus, vous m’avez déjà vue toute nue.
— Écoutez, Natacha, cela fait bien longtemps que je n’ai rien fait de mon côté…
— Raison de plus pour profiter de l’occasion, si je ne vous dégoûte pas trop.
— Arrêtez à la fin ! Non, vous ne me dégoûtez pas, pas du tout, tout le contraire : vous me plaisez. Mais vue la différence d’âge, je ne pense pas que ce soit raisonnable.
— Raisonnable, je ne sais pas. Mais, moi, j’en ai envie. Je passe des vacances extras, avec un homme merveilleux, il me manque juste un peu de câlins et de sexe pour être totalement heureuse. Et j’ai envie de ça avec vous. J’ai envie que vous me câliniez, j’ai envie que vous m’embrassiez, j’ai envie que l’on fasse l’amour ensemble. Non seulement, j’en ai envie, mais j’en rêve la nuit.
La fièvre s’empare alors d’elle. Elle se tourne vers moi, pose sa main sur ma braguette.
— Hummm, en plus, ça a l’air bien rempli tout ça. Embrassez-moi !
Elle tend la bouche vers moi, difficile de résister. Un baiser passionné, nos langues se mélangent tandis que ma main pétrit sa poitrine et que la sienne s’acharne sur mon sexe. Ce baiser est interminable, mes doigts glissent sous son corsage, cherchent ses tétons durs d’envie sous son soutien. Lorsqu’elle arrête enfin de m’embrasser, c’est pour dire :
— Je vais faire plaisir à ce connard de Corentin, je vais vous montrer que je suis effectivement une « bonne petite suceuse de bites ».
Et c’est avec dextérité qu’elle extrait ma queue et qu’elle ...