1. Accident de parcours


    Datte: 18/10/2023, Catégories: fh, Oral pénétratio, Auteur: Arpenteur, Source: Revebebe

    ... l’embouche. Elle n’y va pas de main morte, elle pompe mon sexe avec un appétit féroce. À ce rythme, je me sens bientôt venir, elle m’achève et m’avale sans relâcher ma queue.
    
    — J’ai trop envie que tu me baises, rugit-elle alors, du sperme plein la bouche. Tu me rends folle, je t’en supplie, je ne peux plus attendre, baise-moi !
    
    Je n’ai même pas le temps de réagir qu’elle a déjà retiré ses vêtements. On dirait presque une sorcière, une damnée de l’Enfer envoyée par Lucifer, elle a la bave aux lèvres et encore plus le feu aux fesses. Je trouve ses bourrelets incroyablement excitants, ses seins un peu tombants aux gros tétons dressés m’émoustillent aussi, j’en bande à nouveau comme un satyre. L’instant d’après, perdant toute retenue, je la culbute sur le tapis, m’enfonce en elle et la ramone comme un étalon. Elle me plaît trop cette nana. Je vais et je viens sans complexe dans son ventre de femme enceinte. De son côté, elle est tellement excitée qu’elle est presque trop trempée, le flic-flac de nos jus mélangés, des bruits de succion obscènes :
    
    — Engrosse-moi, réclame-t-elle, entre deux gémissements.
    — Oh oui ma cochonne, je vais t’engrosser.
    
    Nous jouissons de concert à cette évocation, en grognant comme des bêtes en rut.
    
    — Putain, que c’était bon, affirme-t-elle sans ambages, une fois remise de ses émotions.
    — Humm, oui, t’es trop bonne, Natacha !
    — Ça faisait plusieurs jours que j’en avais envie, je me masturbais dans mon lit tous les soirs en ...
    ... pensant à toi. Mais Monsieur gardait ses distances avec ses vouvoiements, ça me rendait folle de désir. Après ce coup d’essai, ça va être difficile de s’en passer. Je suis à toi, toute à toi, entièrement à toi, fais de moi ce que tu veux, Cédric. J’ai trop envie que tu me prennes encore et encore.
    
    Inutile de préciser que nous passons cette fois-ci la nuit dans le même lit, pour dormir un peu et pour baiser beaucoup.
    
    Les jours se suivent et se ressemblent, à l’image de notre passion dévorante, un festival de plaisir, nous en avons sans cesse envie. Nous sortons moins et passons beaucoup de temps au lit, quand ce n’est pas sur le canapé, dans la cuisine ou d’autres endroits insolites.
    
    — J’ai très envie que tu me prennes dans le grenier, me demande-t-elle un matin.
    — Mais c’est plein de poussière et de toiles d’araignées là-haut.
    — Justement, viens, j’ai envie d’essayer, les reins cambrés, penchée contre une vieille malle. Tu me prends par la chatte et par le cul après.
    
    Elle est excitée comme une puce à cette évocation. Elle m’entraîne dans l’escalier, prend la pause contre cette grosse cantine, trousse sa jupe, m’implore de venir en elle. J’accède à son désir sans me poser de question. Je ne lui demande même pas comment elle savait qu’il y aurait cette malle énorme dans ce vieux grenier.
    
    — Encule-moi maintenant, j’ai envie de la sentir dans mon cul.
    
    Elle jouit encore plus fort que d’habitude quand enfin ma bite se contracte et s’épanche en elle par longues ...
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