1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... souffla d’une petite voix :
    
    — Que puis-je faire pour le mériter, mon seigneur et maître ?
    — Il t’en faut du temps ! Il va falloir être plus rapide si tu veux ressortir d’ici la ceinture alourdie. Déjà, mets-toi à genoux, ça sera un bon début.
    
    Elle obtempéra, se disant qu’elle aurait probablement dû le faire depuis longtemps. Une simple paysanne doit se prosterner devant un roi, cela lui semblait maintenant évident.
    
    — Non ! Non ! s’exclama-t-il. J’ai dit à genoux, pas assise. Redresse ton dos.
    
    Isabelle ajusta sa posture. Sa nudité lui redonna le rouge aux joues alors que le noble s’intéressait maintenant à son corps et non plus simplement à ses yeux.
    
    — Visiblement, personne ne t’a jamais appris à te prosterner. Écarte les genoux, ils ne doivent pas être serrés ! lança-t-il.
    
    Isabelle obéit en conservant son dos droit.
    
    — Maintenant, tu mets tes mains dans ton dos et tu attends.
    
    Isabelle en trembla. Elle allait littéralement offrir son corps au regard de cet homme en agissant de la sorte.
    
    — Je ne suis pas patient, prévint-il. J’ordonne, tu obéis, ou bien tu sors. À toi de voir ! Tu peux encore partir, si tu le souhaites.
    
    Isabelle plaça ses bras dans son dos et eut toutes les peines de monde à garder le dos bien droit, la poitrine offerte et les jambes écartées découvrant son sexe lisse. Les yeux baissés, Isabelle vit son intimité pour la première fois depuis qu’elle avait été rasée. Elle ne s’était pas vue ainsi depuis son enfance et elle se sentit ...
    ... plus nue que jamais. Elle détourna le regard pour viser le parquet, ne pouvant supporter cette vision. Elle sentit alors peser lourdement sur elle le regard de cet homme.
    
    — Pas mal, pour une paysanne, finit-il par dire.
    
    Isabelle se sentit insultée. Ce n’était pas un compliment. Il l’avait dit d’un ton moqueur et suffisant. Elle n’osa rien répliquer.
    
    — Maintenant, mets-toi à quatre pattes, ordonna-t-il. Les paysans sont des chiens. Tu es une chienne. Prends la pose.
    
    Isabelle secoua la tête. Elle ne voulait pas obéir.
    
    — C’est le dernier avertissement. Quand j’ordonne, tu obéis. Si ça ne te plaît pas, va-t-en !
    
    Isabelle ne pouvait pas partir. Elle ne pouvait pas accepter sa défaite. Elle était plus forte que cela. Elle voyait bien ce qu’il était en train de faire d’elle : une pute. Il n’y avait pas d’autre mot. Elle se donnait pour de l’argent, comme ces filles qu’elle avait toujours méprisées. Elle ne valait pas mieux qu’elles. Sa famille avait besoin de cet argent, désespérément besoin. Elle avait le choix entre rentrer chez elle les mains vides et humiliée ou bien en sortir salie mais vainqueur, car à la fin, c’est bien elle qui aurait gagné. En échange de son corps, cet homme était prêt à lui donner plus d’argent qu’elle n’en verrait jamais, elle, la pauvre petite paysanne seulement « pas mal ». Elle allait devenir la putain la plus chère du royaume. Ça serait sa victoire. Elle se plia donc aux exigences de son « client » et se mit en position animale.
    
    — ...
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