1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... regardait même pas, ne la caressait même pas, ne s’occupait pas d’elle. Elle aurait pu ne pas avoir de seins, de ventre, de fesses et de lèvres que ça aurait la même chose. Pendant des années, elle avait accepté ce traitement, puis, prétextant en avoir assez d’être sans cesse grosse, elle lui interdit l’entrée de son jardin et il s’y résigna. Pendant encore deux ans, elle se contenta du vide, du néant, mais dans ses rêves, elle revoyait les quelques jours avec le seigneur. Elle avait l’impression de sentir sa langue sur sa vulve, ses mains malaxant ses seins, son sexe pénétrant son cul avec brutalité. Un matin, trempée, tremblante de désir, elle se caressa elle-même doucement les seins alors que son mari dormait encore. Ses seins durcirent immédiatement. Plus les jours passaient, et plus elle osa se caresser fermement. Bientôt, elle triturait ses tétons, mais son ventre en feu en réclamait lui aussi. D’abord, elle s’interdit d’aller plus loin, mais ne tenant plus, elle descendit et sa main se posa sur sa chatte, lui arrachant un gémissement qu’elle ravala immédiatement, de peur d’éveiller son époux. Ce ne fut que deux mois plus tard qu’elle osa entrer ses doigts dans son intimité et le lendemain, elle osa même forcer son autre trou. Seule, dans son lit, elle retrouva cette sensation délicieuse, son ventre déchiré de spasmes incontrôlables, cette bouffée de chaleur, ce plaisir ...
    ... intense qui monte puis explose. Comme elle aurait aimé le crier, ce plaisir, mais son époux n’aurait pas compris. À presque quarante ans, quand il lui revint en mémoire ces moments avec le seigneur, elle n’éprouvait plus ni honte, ni culpabilité, ni dégoût, mais des remords de ne pas être restée plus longtemps, de n’avoir pas joué davantage et une certaine mélancolie. Pourquoi était-elle partie alors qu’il allait lui offrir ce plaisir qu’aucun homme ne lui donnerait plus jamais ? Elle le regrettait amèrement. Elle avait eu un amant fabuleux et l’avait fui. Elle n’avait pensé qu’à l’argent. C’était honorable. Elle voulait le bien de sa famille, mais ne pouvait s’empêcher de regretter ces jours merveilleux. Elle portait la bague offerte par le seigneur. Elle ne l’avait jamais retirée.
    
    Isabelle suivit les bruits jusqu’à la place principale. Le village était réuni. Un héraut jouait du tambour. Lorsqu’il annonça que le nouveau seigneur, le fils du précédent, avait décidé d’honorer Primel, Isabelle sourit. Elle rejoignit Amanda, sa fille, et l’envoya au palais avec pour ordre de ramener cet argent qui leur permettrait d’acheter un nouveau moulin pour le village qui en avait bien besoin. Isabelle la jalousait, mais son temps à elle était fini. Il fallait l’admettre. Elle regarda Amanda, terrifiée par le voyage devant elle, disparaître sur le sentier et elle ne put s’empêcher de sourire. 
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