1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... Parfait, ne m’oblige pas à répéter mes ordres.
    — Vous ne serez plus obligé, mon seigneur et maître. Je ferai tout ce que vous me direz.
    — Bien. Je vois que tu commences à comprendre. Maintenant, cambre davantage le dos et écarte plus les genoux. Je veux te voir complètement offerte.
    
    Elle obéit. Elle méprisait cet homme, plus que tout. Elle détestait son arrogance, sa suffisance, sa supériorité. Il croyait avoir gagné mais c’était elle qui gagnait. Il la caressa alors sans ménagement, prenant possession de ses hanches, de son dos, de ses fesses qu’il écarta, de son ventre puis de ses seins avec lesquels il joua, n’hésitant pas à pétrir jusqu’à ce qu’elle en souffre et à tirer ses tétons mais elle ne lui offrit pas la joie de l’entendre crier. Elle voulait garder sa fierté et son honneur.
    
    — Tu vas crier, petite chienne, dit-il, comme s’il avait lu ses pensées.
    
    Il passa ensuite ses mains sur ses cuisses et remonta jusqu’à son intimité.
    
    — Madame Cyril a bien fait son travail comme d’habitude. Tu es toute lisse, comme j’aime. Et toi ? Tu aimes ?
    
    Il caressait ses grandes lèvres. Isabelle dut avouer que les caresses étaient douces et agréables, mais elle ne voulait pas l’avouer.
    
    — Réponds aux questions que je te pose ! s’exclama-t-il en lui claquant une fesse.
    — Oui, j’aime, s’entendit-elle répondre.
    
    Elle était elle-même surprise d’avoir répondu cela. Elle aurait voulu mentir, mais de surprise, elle avait lâché la vérité. Elle se reprit une autre claque, ...
    ... plus violente cette fois.
    
    — Tu as oublié mon titre ! Recommence !
    — Oui, j’aime, mon seigneur et maître, répéta-t-elle plus difficilement.
    — Bien. Qui sait ? Peut-être vas-tu te raser tout le temps maintenant que tu y as goûté !
    
    Un doigt pénétra alors plus à l’intérieur, entre les petites lèvres qu’il étira sauvagement et qu’il malaxa comme s’il testait leur résistance. Elle se retint à nouveau de hurler, mais se fut plus difficile.
    
    — Reste cambrée et offerte, petite chienne, à moins que tu ne veuilles que j’arrête ? Si ça ne te plaît pas, tu peux partir.
    
    Isabelle reprit la posture indiquée malgré la douleur causée par les caresses du noble. Lorsqu’elle sentit un doigt s’approcher de l’entrée de son jardin secret, elle gémit et tenta de s’y soustraire. En réponse, il retira son doigt, posa une main douce et rassurante sur ses fesses et souffla :
    
    — J’honore Primel cette année. Je ne vais pas la priver de l’une de ses suivantes. Je ne dépucellerai pas, n’aies crainte. Je ne désire pas cela de toi.
    
    Isabelle ne s’en sentit pas du tout rassurée.
    
    — Cependant, continua-t-il, cela ne veut pas dire que rien ne rentrera dans ton antre. Après tout, cette récompense, elle est en l’honneur de ce trou inviolé. Alors chaque pièce que tu gagneras en te montrant méritante ira là et lorsque tu sortiras, tu partiras avec celles qui seront en toi. Libre à toi de partir quand tu le souhaites. Ce qui a déjà été accompli mérite bien ta première récompense.
    
    Le noble ouvrit la ...
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