1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... virent, ils s’approchèrent d’elle. Isabelle ne savait que faire.
    
    — Tu es perdue, jeune fille ? demanda l’un d’eux.
    
    Isabelle secoua la tête.
    
    — Non ? dit un autre. Tu as oublié de mettre des vêtements ce matin ?
    
    Ils partirent dans un rire sonore. Isabelle n’osait pas lever les yeux sur eux et tremblait de la tête aux pieds. Elle sursauta lorsque l’un d’eux attrapa son bras et la plaqua contre le mur. Elle voulut se débattre en usant de son autre main mais un second noble l’avait maintenue comme le premier. Elle était maintenant complètement offerte aux regards de ces hommes. Celui qui lui tenait le bras droit passa une main sur son intimité en soufflant :
    
    — Mais tu es vraiment une petite fille, ma parole !
    — Et tu sens bon ! dit le second.
    — Et douce avec ça, continua le premier en passant une main sur son ventre, remontant lentement jusqu’à ses seins, qu’il n’atteignit pas.
    
    La porte menant au bureau du seigneur des lieux s’ouvrit. Un homme en sortit et regarda la scène. Sa réaction surprit Isabelle. Au lieu de s’énerver, il sourit et lança simplement :
    
    — Allons, messieurs, lâchez-la maintenant. Vous savez bien qu’elle est réservée à sa Majesté.
    — Ça n’empêche pas de s’amuser un peu, Arvin ! s’exclama le premier.
    — Duc Baldin, ça ne m’étonne pas de vous ! dit Arvin en souriant. Allez donc rejoindre vos nombreuses maîtresses, elles doivent se languir de vous.
    
    Les nobles lâchèrent Isabelle et s’éloignèrent en bavardant gaiement. Isabelle replaça ses ...
    ... bras pour cacher un maximum de son corps alors que le dénommé Arvin lui faisait signe de le suivre. La porte ouvrait en fait sur une antichambre. Arvin frappa à une autre porte. Une voix s’éleva de l’intérieur. Isabelle ne comprit pas mais Arvin ouvrit et fit signe à la jeune femme d’entrer la première. Elle obtempéra et la porte se referma derrière elle, laissant Arvin dehors.
    
    Isabelle se trouvait dans une chambre sublime. Un grand lit à baldaquin se trouvait à sa droite. Des fenêtres ouvrant sur des balcons donnant sur un immense jardin apportaient une luminosité maximale en cette heure avancée de la matinée. Des commodes et des secrétaires étaient posés contre certains murs et des chaises trônaient çà et là.
    
    — Entre, jeune femme. N’aie pas peur.
    
    Isabelle sursauta. Elle n’avait pas vu qu’il y avait quelqu’un. Elle s’avança et, masqué derrière une des colonnes du lit, un homme se dévoilé. Son regard noisette la déshabillait des yeux, pour autant que cela fut possible alors qu’elle ne portait aucun vêtement. Il était vêtu simplement d’une chemise en soie noire, de braies et de chausses sur lesquelles remontaient des bottes courtes. Il ne portait ni insigne, ni tabard, ni bijou, ni couronne. De sa ceinture, il décrocha une bourse. Il l’ouvrit, faisant tomber dans sa main dix petites pièces jaunes, qu’il remit ensuite en place.
    
    — Tu es venue pour cela, il me semble, dit-il.
    
    Isabelle hocha la tête sous le regard de cet homme qui la fixait dans les yeux, ne semblant ...
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