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Isabelle
Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... rire. — Vous ne pouvez pas m’en prêter une ? — Que crois-tu ? Que j’ai des robes en stock pour qui en veut ? Non. Si tu veux ton argent, il va falloir te contenter de ce que tu as. Qui sait, peut-être qu’en te voyant ainsi dévêtue, notre seigneur et maître doublera ta prime. Isabelle regarda la vieille qui eut un sourire malveillant l’espace d’une seconde. Isabelle l’avait-elle imaginé ? Car maintenant, la vieille avait ce même visage neutre et sévère. Isabelle réfléchit mais rapidement, la vieille lança : — Alors ? Je n’ai pas que cela à faire ! Tu te décides, oui ou non ? Qu’allait dire son père ? Cela se compliquait de minute en minute. Voilà ce qu’il lui dirait : après tout ça, tu t’es débinée ? Après avoir accepté l’humiliation, tu es partie à cause d’un bout de tissu ? Un homme voit un peu de ton corps et alors ? Cela vaut largement les dix pièces d’or ! C’est une fortune ! Isabelle se décida. — C’est d’accord, murmura Isabelle. — Pardon ? dit la vieille. Je suis dure d’oreille. Que viens-tu de dire ? — Je veux bien aller voir notre seigneur et maître. — À la bonne heure. Les gardes vont t’amener. Mon travail s’arrête là. Les gardes s’avancèrent. Isabelle mit un bras devant ses seins et l’autre sur son pubis maintenant glabre alors que les gardes, en passant à côté d’elle, ne se privèrent pas de poser leurs yeux partout sur son corps offert. Ils la firent sortir par la porte d’où elle venait. Les deux officiels et le page étaient toujours ...
... présents. Isabelle n’osa pas sortir. Les gardes attendirent, puis, voyant qu’elle ne venait pas, retournèrent en arrière et l’un d’eux lui lança un regard noir. Isabelle s’avança alors sous les regards insistants des hommes présents sans le couloir. Elle sentit leur regard sur ses fesses rondes et fines alors qu’elle leur tourna le dos pour suivre les gardes. Ils montèrent les marches. La pierre froide n’était pas très agréable mais les tapis du large couloir de l’étage des hauts nobles furent beaucoup plus appréciables. Le couloir était vide. Ils ne croisèrent personne. Les gardes stoppèrent devant une grande porte en bois et l’un d’eux frappa tandis que son collègue se retournait pour poser sans détour ses yeux sur le corps de la jeune paysanne. Isabelle s’empourpra et raffermit ses bras protecteurs sur ses parties intimes. Elle n’entendit pas ce que le garde dit au dignitaire derrière la porte mais il ressortit et lança en direction de la jeune femme : — Toi, tu restes là. Pour l’instant, notre seigneur et maître est occupé. Il te recevra quand il le pourra. Les gardes s’éloignèrent alors, non sans un dernier regard sur la jeune femme. Isabelle se retrouva seule dans cet immense couloir décoré d’armures sublimes, d’armes et de magnifiques tapisseries. Chacun de ses objets devait coûter plus qu’elle ne gagnerait jamais en toute une vie. Elle ne se sentait pas à sa place et lorsque trois nobles arrivèrent dans le couloir, elle se sentit plus perdue que jamais. Lorsqu’ils la ...