1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... laissant la vieille réinsérer sans douceur l’objet métallique. Très vite, elle annonça :
    
    — C’est bon, elle est pure.
    
    Isabelle soupira. Tout ça pour en arriver là. Ça avait été difficile, mais cette fois, ça y était. Elle allait enfin gagner la prime. La vieille rangea le matériel de rasage puis lui fit signe de descendre de l’estrade.
    
    — Vous allez me mener auprès de notre seigneur et maître ? interrogea Isabelle d’une petite voix.
    — Dans cette tenue ? répliqua la vieille alors que les gardes s’esclaffaient. Tu t’es bien regardée ? Crois-tu qu’une souillon comme toi pourrait être présentée ? Évidemment que non ! Nous allons commencer par te laver.
    
    À ces mots, la vieille fit rouler ce qui sembla d’abord être à Isabelle un tonneau très large, mais qui, une fois posé au sol à côté d’elle, se trouva être une large bassine en bois.
    
    — Ôte ta robe et entre là dedans. Je vais te laver.
    — Que je ? Mais…, dit Isabelle en se tournant une seconde vers les gardes.
    — Qu’est-ce que tu crois ? dit la vieille. Ils en ont vu d’autres et moi aussi. Maintenant, dépêche-toi, ou je te fais jeter dehors…
    
    Isabelle eut un instant envie de la prendre au mot et de sortir, mais son père serait furieux. Elle ne pourrait jamais lui dire qu’elle n’avait pas l’argent parce qu’elle avait refusé de se laver. Elle ôta donc ses sabots et entra dans la baignoire. Elle délaça le cordon qui resserrait sa taille et enfin, fit tomber sa robe. Elle s’accroupit pour la ramasser et la mettre en ...
    ... dehors de la bassine, ne voulant pas, en se penchant, offrir un spectacle plus grand encore aux gardes derrière elle. La vieille, qui ne semblait pas se préoccuper de la nudité de la jeune femme, lança le vêtement dans une panière puis entreprit de nettoyer Isabelle avec une éponge. Elle la fit mettre à genoux pour tremper ses cheveux et les laver. Isabelle sentait peser sur elle le regard des gardes, d’autant plus insistant qu’elle devenait propre. Ses cheveux sales et emmêlés se retrouvèrent lisses et doux. Son corps maculé de tâche révéla une jeune femme à la peau claire d’une pureté angélique. Les jambes tachées de crottin retrouvèrent leur douceur et leur beauté. La vieille ne s’arrêta que lorsqu’Isabelle présenta une propreté parfaite. Elle la fit alors se tenir debout, les pieds dans la bassine remplie d’eau. La vieille lui fit signe de sortir et elle l’essuya d’un drap propre, séchant ses cheveux. Toujours nue sous le regard des gardes qu’elle sentait même si elle ne les voyait pas, Isabelle n’osait plus parler ni bouger. Elle ne savait pas comment réagir. La vieille revint pour la coiffer sommairement, mais suffisamment pour que les cheveux encore humides soient à moitié domptés.
    
    — Maintenant, nous pouvons te présenter, dit la vieille.
    — Il me faut une robe ! répliqua Isabelle d’une toute petite voix, plus proche d’un cri que d’une suite de mots.
    — Tu ne vas pas remettre ton vêtement qui sent le purin ! s’exclama la vieille, alors que les gardes continuaient à ...
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