Isabelle
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... jusqu’à ses genoux.
— Plus haut ! s’exclama la vieille.
Isabelle obéit, mais fit en sorte que ses fesses restent cachées. Elle en offrit ainsi le moins possible aux gardes.
— Maintenant, écarte les cuisses ! Comment veux-tu que je fasse serrée comme tu l’es !
Isabelle obtempéra, mais avec difficulté.
— Mais tu vas écarter, oui ! s’exclama la vieille.
Elle lui attrapa les genoux et les écarta sans douceur. Isabelle n’osa pas se rebeller et se laissa faire, au bord des larmes. La vieille se pencha et écarta les lèvres intimes de la jeune femme sans douceur. Isabelle cria lorsqu’elle sentit un objet froid et métallique toucher son sexe, forçant avec brutalité l’entrée de son intimité.
— Arrête donc de bouger et de te plaindre, ou je demande aux gardes de s’occuper de te maintenir en position !
Isabelle, qui avait resserré les cuisses au toucher de l’objet métallique, les rouvrit, ne voulant pas voir les deux hommes avides s’approcher d’elle. La vieille força à nouveau l’entrée du paradis de la jeune femme et cette fois, Isabelle retint ses cris et son envie de s’enfuir. Jamais son père ne lui pardonnerait si elle partait maintenant, si près du but. Isabelle ne s’était jamais sentie aussi honteuse alors qu’elle entendait rire les deux gardes dans son dos. Isabelle ne comprenait pas pourquoi la vieille n’avait pas toujours pas terminé. Était-ce donc si difficile que cela à déterminer ? Isabelle sentait ses lèvres être tirées et étirées par les mains ...
... sèches de la vieille et elle se sentait de plus en plus mal à l’aise.
— Il y a trop de poils et c’est trop sale, je ne vois rien, finit par annoncer la vieille.
Cette réflexion rendit Isabelle plus rouge qu’une tomate, d’autant que les gardes faillirent s’étouffer de rire. La vieille s’éloigna et revint avec une bassine remplie d’eau. Sur le rebord étaient posés un savon et une lame de rasoir qui semblait très coupante. Enfin, la vieille avait posé sur son bras un linge sec et propre. Isabelle, bien que morte de honte, laissa la vieille lui laver le sexe, frottant avec le savon sans la moindre douceur. Certains passages faisaient frémir Isabelle, lui amenant des sensations étranges mais agréables jusqu’alors inconnues.
— Ne bouge pas ! ordonna la vieille en approchant le rasoir des lèvres intimes de la jeune femme.
Isabelle ne comptait pas bouger. Elle laissa la vieille agir, se forçant à ne pas fondre en larmes. Elle se sentait humiliée et rabaissée. Elle ne put empêcher une larme de couler sur sa joue, mais retint les suivantes. Après plusieurs minutes, la vieille essuya le sexe maintenant parfaitement lisse de la jeune femme. Avec un ton d’une femme qui venait de vaincre une hydre à huit têtes, elle s’exclama :
— Ah ! Voilà ! Maintenant, c’est propre. Je vais pouvoir faire du bon travail.
Isabelle descendit plus bas que terre. Elle n’osa même pas regarder sa propre intimité, ne voulant pas la découvrir rasée. Elle tint donc sa jupe entre ses yeux et son sexe, ...