Isabelle
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... toute part. La cuisine était immense et tous s’activaient à la préparation du dîner. Isabelle s’avança vers une femme en train de couper des légumes et demanda :
— Excusez-moi. Mon seigneur et maître désire que je lui apporte du thé et des biscuits aux amandes. À qui dois-je m’adresser ?
La femme la détailla de haut en bas avant de lui désigner un homme du menton. Isabelle la remercia et se dirigea vers le chef de cuisine. Sa ceinture était remplie de couteaux de tailles diverses et variées. Il maniait les différents instruments pour découper un mouton qui avait été égorgé depuis peu. Le chef de cuisine arrêta ses œuvres en voyant venir la jeune femme vers lui.
— Bonjour, monsieur.
— Bonjour, jeune femme, du thé et des biscuits pour le duc Baldin ?
Isabelle comprit alors que c’était une habitude du duc d’avoir ce genre de demande farfelue.
— Oui, sauf que c’est pour mon seigneur et maître, mais le duc est également présent.
— Ah ? Alors, pour deux personnes. Je t’apporte ça, petite.
— Merci beaucoup, monsieur.
Le chef souriait et secouait la tête. La situation le faisait rire. Un marmiton arriva quelques minutes plus tard avec un plateau moyennement lourd contenant les mets requis. Isabelle remercia à nouveau le chef de cuisine et remonta. Ce fut difficile mais elle parvint à tout apporter sans casse à la chambre du seigneur. Elle dut s’arrêter à plusieurs reprises pour faire remonter les pièces dans son ventre en contractant ses muscles car l’effort ...
... avait tendance à les faire descendre. Les deux hommes sourirent pleinement en la voyant revenir.
— Merci, petite chienne, dit le seigneur. Duc Baldin, vous voulez bien la récompenser ?
Le duc sortit une pièce et la lui inséra avec plaisir. Les deux hommes croquèrent dans un biscuit. Isabelle, de son côté, considérait la situation. Cinq pièces. Elle n’avait jamais été aussi riche. Allait-elle rester pour en obtenir davantage ou bien partir maintenant, déjà bien alourdie, avec de quoi recevoir toutes les faveurs de son père ? Alors qu’elle réfléchissait, le duc lança :
— Et maintenant ? Avez-vous une envie particulière, Majesté ?
— Oui, répondit le seigneur.
Il se leva et alla ouvrir le coffre, dont il sortit la barre et ses deux attaches de cuir, ainsi qu’une corde. Isabelle sut ce qu’il voulait faire. La dernière fois, elle avait eu un plaisir sans nom, il fallait bien le reconnaître, mais elle avait aussi perdu tous ses gains. Serait-elle capable, cette fois, de contrôler son corps ? Elle se laissa attacher, mais lorsque le seigneur s’approcha pour l’embrasser, elle tourna la tête et souffla :
— Non. Je veux partir.
Le seigneur s’écarta un peu, l’obligea à le regarder dans les yeux et demanda :
— Tu es sûre ?
— Oui, mon seigneur et maître. Je veux rentrer chez moi.
— D’accord. Duc, laissez-nous.
— Bien, Majesté, dit Baldin avant de sortir de la pièce.
Sans un mot, le noble détacha Isabelle. Puis, il actionna une cordelette et madame Cyril arriva, la ...