1. Isabelle


    Datte: 09/06/2019, Catégories: fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme rasage, Oral fsodo, init, fantastiqu, Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe

    ... crus, vulgaires et insultants. Isabelle se força à se taire mais elle se sentait mal. Son seul réconfort était les deux rondeurs métalliques dans son intimité. Ça avait été dur, mais elle avait réussi à les obtenir. Lorsqu’ils furent reposés, ils décidèrent de recommencer, mais en échangeant leur place. Isabelle avait craint qu’ils ne le fassent. Elle reçut deux nouvelles pièces pour ce travail et les deux hommes reprirent leurs descriptions humiliantes. En plein milieu d’une discussion, le duc lança :
    
    — C’est l’heure du thé. Que pensez-vous d’un peu de thé et des biscuits aux amandes, Majesté ?
    — Volontiers, répondit le seigneur. C’est une excellente idée.
    — Je propose que ce soit votre petite chienne qui aille nous les chercher. Ça pourrait être amusant !
    
    Isabelle regarda le seigneur qui considérait la proposition.
    
    — Une pièce d’or si tu vas nous chercher de quoi manger, dit le seigneur. Tu as le droit de refuser. Il est sans dire que tu dois y aller dans cette tenue, que tu débrouilles toute seule pour trouver la cuisine et que tu as intérêt à te dépêcher.
    
    Isabelle réfléchit. C’était plutôt facile, humiliant, mais facile. Elle hocha la tête en signe d’accord.
    
    — Alors, va, et fais vite.
    — Oui, mon seigneur et maître.
    
    Isabelle se leva et sortit, retrouvant l’antichambre puis le couloir sublime. Elle le traversa sans rencontrer personne. Elle prit l’escalier et le descendit, soupçonnant la cuisine de se trouver plus bas. Elle descendit trois étages et ...
    ... se trouva dans un couloir identique au précédent, quoiqu’un peu moins somptueux. Trois hommes qui passaient lui jetèrent un regard enjoué mais n’allèrent pas vers elle. Isabelle n’essayait même pas de cacher son corps. Elle voulait juste trouver la cuisine et le faire vite car si elle traînait, elle soupçonnait que le seigneur s’en servirait comme d’une excuse pour ne pas la récompenser. Elle descendit deux étages supplémentaires, mais ce n’était qu’un couloir de pierre sans décoration. Cependant, de là, elle sentit une odeur de nourriture. Elle s’engouffra dans le couloir et suivit les effluves jusqu’à un escalier qu’elle descendit. Plusieurs couloirs plus loin, elle se retrouva dans une pièce remplie de soldats en train de déjeuner. Ils se tournèrent tous vers elle, la dévorant littéralement des yeux. Un homme, qu’elle reconnut comme étant le soldat l’ayant fait entrer, s’avança et demanda :
    
    — Vous êtes perdue ?
    — Oui, sergent.
    — Capitaine, dit-il en soupirant.
    — Pardon, capitaine. Je… je cherche la cuisine.
    — Remontez de trois étages, prenez le premier couloir à droite et vous y êtes.
    — Merci beaucoup capitaine, dit-elle en repartant.
    
    Elle sentit peser sur son dos et ses fesses des dizaines de paires d’yeux mais fit son possible pour ne pas y prendre garde. Elle suivit les instructions du capitaine. Dans les couloirs, elle croisa beaucoup plus de monde : serviteurs, intendants, notables, marmitons. Ce fut très difficilement qu’elle avança, se sentant scrutée de ...
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