Isabelle
Datte: 09/06/2019,
Catégories:
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
rasage,
Oral
fsodo,
init,
fantastiqu,
Auteur: Myhrisse, Source: Revebebe
... robe d’Isabelle et ses sabots dans les bras. Elle déposa le tout et sortit.
— Tu peux t’habiller, dit le seigneur.
Isabelle passa la robe qui avait été lavée puis enfila ses sabots.
— Je te raccompagne dehors.
Le seigneur ouvrit la porte et lui fit signe de passer la première. Isabelle se sentait rassurée. Elle s’était longtemps demandée s’il allait vraiment accepter qu’elle parte ou s’il ne s’agissait que d’un odieux mensonge. Apparemment, il comptait bien tenir parole. Ils marchèrent dans le plus grand silence le long de plusieurs couloirs, descendirent plusieurs escaliers pour finalement se retrouver dehors par une poterne ouvrant sur une rue peu usitée de la ville.
— La rue principale est trois rues plus loin. Ensuite, tu n’auras qu’à demander ton chemin.
— Merci, mon seigneur et maître.
— Merci à toi, Isabelle, répondit-il en lui tendant une petite bourse en cuir.
Il ferma alors la poterne et la jeune femme se retrouva toute seule. "Isabelle". Il l’avait appelée par son prénom. Ainsi donc, il le connaissait. On lui avait probablement dit mais il avait pris la peine de le retenir. Elle regarda la bourse et l’ouvrit précautionneusement. À l’intérieur, elle trouva une bague, très simple, en pierre qu’Isabelle reconnut comme étant de l’hématite, son oncle en vendant sur son marché. Sans ornement, elle était plus que banale mais pour Isabelle, c’était un trésor. Un cadeau du seigneur. Elle se surprit elle-même à trouver ce geste merveilleux. Ça n’était ...
... rien, mais c’était tout. Elle passa la bague, accrocha la bourse vide à sa ceinture et sortit de la ville sans difficulté. Une fois dehors, elle se cacha dans un buisson et libéra son ventre de son contenu. Sans honte ni gêne, elle nettoya les pièces en les prenant en bouche avant de les mettre dans la bourse et elle reprit le chemin de son village.
Isabelle regarda dehors, se demandant ce qui faisait autant de bruit. Elle n’avait pas vu le village animé depuis la fête de l’équinoxe quelques mois plus tôt. Elle sortit. La ferme était magnifique. En vingt ans, elle avait prospéré. Des cinq pièces qu’elle avait ramenées, son père avait su bâtir un empire fermier qui avait enrichi tout le village. Isabelle avait épousé le fils d’un riche fermier voisin et les deux domaines avaient été réunis. Ses frères avaient également pris pour épouse des filles d’agriculteurs et ainsi, les terres avaient pris de l’ampleur, gagnant encore en force. Des cinq pièces, il ne restait plus rien, mais les bénéfices chaque année venaient des terres et des bêtes. Isabelle aurait pu se dire heureuse. Mère de trois fils et d’une fille, mariée à un homme important à la tête de plusieurs hectares, elle avait tout pour l’être. Cependant, elle ressentait un manque dans sa vie et ce manque concernait clairement la partie de son corps entre les genoux et la ceinture.
Quelle n’avait pas été sa déception la nuit de ses noces ! Son mari ne savait faire qu’une chose : entrer, labourer et sortir. Il ne la ...