La putain - Histoires de Sexe

La putain

... souffle :

— Si tu le veux vraiment, Reb, seulement si tu veux !
— Toi non ? me demande-t-elle un peu penaude,confiouse comme dirait Lady Betty.
— Bien sûr que si, ma chérie ! Avec ma queue justement contre ton petit cul adorable, bien sûr que j’ai envie de… forcer ton petit trou !

La pauvrette pousse un soupir de soulagement.

Je sais tout ce que cela représente pour elle : un cadeau. L’acte d’une soumission consentie, ultime, totale. Peut-être plus encore pour elle que pour aucune autre !

— Alors, viens, vas-y, je t’offre mon cul, mon amour ! Encule-moi ! Mais fais…
— Doucement, je sais !

Reb se couche à plat ventre sur le lit.

— Non, chérie, pas comme ça !

Je la fais se retourner, s’allonger sur le dos, lui relève les jambes et bascule son bassin. J’ai la double vision bénie de sa conque et de son cul serré, tout en pouvant capter, dans son regard, ses appréhensions, sa douce terreur impatiente. Trop bon !

— Comme ça, on ne se quittera pas des yeux. Tu veux de la vaseline ?
— Non, pas besoin, je crois, répond-elle en glissant ma main sur son coquillage.

Je prélève en effet suffisamment du mélange de sa mouille et de mon sperme pour bien lubrifier la raie.

Les yeux dans les yeux, doucement, je porte d’abord mon majeur ...

... à l’entrée inviolée, masse l’étoile plissée qui se détend peu à peu. Quand le doigt la pénètre, ma douce sursaute un peu, ferme les yeux un instant, les rouvre et me sourit.

— C’est bon, murmure-t-elle. Viens maintenant, mets-moi ta queue !

Calmement, je pousse mon gland vers l’entrée de service. Stéphanie relève encore son bassin, écarte les globes de ses fesses des deux mains. C’est elle qui vient s’empaler sur mon chibre, son cul avale mon nœud, ma tige coulisse dans l’anneau étroit de son cul.

Elle sourit toujours, m’encourage :

— Viens vite, défonce-moi à fond, explose-moi le cul !

Ma queue coulisse sans difficulté dans l’étoile Polaire, plonge dans le trou noir. Je lui ramone le fond, je la bourre, sans ménagement désormais. Mon adorable petite pute se malaxe un sein et se branle le clito. Les yeux écarquillés, lèvres serrées, elle subit avec bonheur mes coups de boutoir. Le plaisir sera express, je le sais, pour elle comme moi. L’attrait de l’inédit sans doute, le parfum de l’interdit, de l’exclusive. D’une… première fois !

Quand l’orgasme nous emporte, entre deux cris de jouissance, elle proclame :

— Je suis… à toi ! Toute à toi ! Rien… qu’à toi !

Je suis le roi du monde, elle est ma reine !

Une putain d’impératrice !