Une affaire d'honneur
Datte: 17/02/2019,
Catégories:
fh,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... raisons, vous n’êtes qu’une brute qui abuse de sa force.
— Mais je ne t’ai jamais vraiment fait mal. J’ai été ferme, un point c’est tout. J’ai apprécié ton corps et ta poitrine. Tu es vraiment très belle. Quand j’ai mis ma main sur ta bouche, tu as laissé ton empreinte de rouge à lèvres. Quand je suis rentré chez moi, je l’ai dégustée et elle m’a apparu savoureuse. J’aimerais bien le goûter directement sur tes lèvres.
— C’est ça, vous voulez me violer ! Ce ne vous sera pas difficile, il vous suffit de m’immobiliser. Puis vous pourrez vous déchaîner, me prendre de force.
— Non, je ne prends jamais une fille sans son accord et je suis d’une grande douceur dans les rapports intimes. Surtout avec toi, tu me plais énormément.
— Laissez-moi tranquille, sinon j’appelle.
— Je te laisse, je ne suis pas ton ennemi, bien au contraire. Ne te fais plus de souci pour l’affaire, elle est réglée. Au plaisir de te revoir bientôt.
— Adieu plutôt, je ne veux plus vous revoir.
Anne est furieuse d’avoir été encore agressée, mais paradoxalement, rassurée puisque l’affaire, comme il lui a dit, est réglée.Il voulait m’en donner les raisons et franchement j’aurais bien aimé les connaître. Mais me retrouver en tête à tête avec lui sans témoin ! Je dois reconnaître qu’il ne m’a jamais fait mal, simplement immobilisée. Peut-être qu’en amour il est doux. De plus, il est très sympathique, dans d’autres circonstances j’aurais aimé le revoir. Mais j’ai peur. Il est tellement imposant, au moins ...
... un mètre quatre-vingt-dix, tout en muscles, c’est le modèle XXL. C’est fini, c’est moi qui lui ai dit que je ne voulais plus le revoir.
Le lendemain, Laetitia s’approche d’Anne, la remercie et cette dernière se demande bien pour quelle raison. Elles se mettent à discuter, c’est une fille très sympathique. Jusqu’à maintenant elles n’avaient pas eu l’occasion d’entrer vraiment en contact. Il s’avère qu’elles ont beaucoup de points communs et c’est un plaisir de parler et travailler avec elle.
Depuis trois mois, elles sont devenues inséparables. Elles travaillent souvent ensemble, Anne en est ravie. Il n’y a qu’une chose qu’elle ne comprend toujours pas, pour quelle raison l’a-t-elle remerciée ? Elle n’ose pas le lui demander.
Ce samedi après-midi, il fait beau. Les deux filles ont bossé dur toute la semaine. Aujourd’hui elles ont décidé de s’aérer. Laetitia propose à Anne de prendre le bus pour se rendre au stade. Ses frères disputent un match. Ils aimeraient tellement faire sa connaissance. Puis ils la ramèneront chez elle. Cela ne l’enthousiasme pas trop, le sport, ce n’est pas sa tasse de thé. Mais sa copine est tellement gentille qu’elle accepte.
Quand elles arrivent, le match en est à la deuxième mi-temps. Deux à trois cents personne encouragent les équipes et commentent les actions. C’est du rugby, lui précise Laetitia. Anne a entendu ce mot à la télé, mais n’a jamais pris la peine de regarder les reportages.
Elle jette un œil sur la rencontre : c’est une ...