1. Parfum frelaté d'Arabie


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... plus sablonneux où les immeubles se faisaient rares. Je me pris même à rêver, à penser à Georges resté en France, si loin de moi et qui me manquait à cet instant précis. Georges, mon mari, celui qui me protégeait à chaque instant. Je me trouvais soudain si vulnérable sans lui, François ne m'offrait pas cette sécurité, il était la, prêt à m'offrir à qui lui faciliterait la signature de son contrat chéri. J'étais un faire valoir, un miroir aux alouettes où venaient se fracasser les males qui s'approchaient de trop près de moi. Ma vulnérabilité se heurtait à ma curiosité, j'avais tant expérimenté le désir des hommes que je voulais encore attiser leurs envies, curieuse de savoir comment des orientaux pouvaient se comporter quand une femme blanche s'offrait ainsi impudique à leurs regards. Certes à Paris j 'avais eu l'expérience des boutiques indiennes, mais j'étais restée dans mon environnement. Cette fois je me trouvais si loin de mes repaires, je voulais tenter une expérience.
    
    J'attrapais mon portable et j'appelais Georges, je lui dis où je me trouvais, ce que j'allais faire, je lui dis que mon chauffeur était pakistanais, tout ce que je pouvais lui dire pour qu'il imagine la situation. Se faisant j'avais carrément écarté les cuisses, livrant mon intimité aux regards de plus en plus insistants du pakistanais qui n'en pouvait plus. Je parlais dans mon téléphone, je disais à Georges que j'avais chaud, que j'avais très envie de me déshabiller tant la chaleur écrasait tout. ...
    ... Je lui disais que j'étais somnolente dans cette voiture de luxe, étendue à l'arrière, me laissant aller sans retenue. « Et le chauffeur? » Demandait Georges vaguement inquiet. « Ne t'inquiète pas, il conduit, » gloussais je tandis que ma main remontait sur ma cuisse et que des gouttes de sueur perlaient au front du pakistanais.
    
    Je me caressais ouvertement à l'arrière de la limousine tout en parlant à Georges qui connaissait si bien sa femme si sensuelle. Il savait reconnaitre mes moments où le désir monte en moi. J'ai sentis la voiture ralentir et tourner pour prendre un chemin sablonneux et s'arrêter derrière une dune. Georges me demandait ce que je faisais, « mais rien mon chéri! j'ai chaud c'est tout, je supporte mal cette chaleur et j'ai hâte d'être de retour à Paris. » Pendant ce temps le pakistanais c'était retourné et entre les sièges, il me reluquait sans vergogne. Mes doigts courraient sur ma fente à travers le fin lycra qui crissait délicieusement. Il a osé me toucher le pied que j'avais allongé entre les deux sièges avant. Comme un enfant devant le sapin de noël, il a avancé sa main jusqu'à me caresser le pied. J'en ai eue des frissons et mes doigts se sont agité plus vite. Et puis il m'a souri, il s'est enhardi jusqu'à me toucher la voute plantaire, me procurant de délicieuses chatouilles qui faisaient frissonner tout mon être et augmentaient mon désir de plaisir. Il a compris le plaisir qu'il me procurait et ses chatouilles se sont accentuées, me tirant des ...
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