1. Parfum frelaté d'Arabie


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... trop loin, que je voulais rentrer à Paris sans attendre. Mais il me répondit que c'était impossible, les deux autres veillaient, qu'il avait négocié, il avait fait valoir que j'étais une étrangère protégée. Ils ne voulaient rien savoir cependant, ils me voulaient dans leur boutique en tant qu'objet. Mon accompagnateur avait du transiger, il ne pouvait pas m'abandonner la, on me retrouverait vite, avait il fait savoir, aussi, le vieux lui imposa de me garder toute l'après midi et jusqu'au soir. Il dut céder et c'est ainsi que je me retrouvais offerte comme une marchandise au fond d'un souk en Arabie.
    
    Je dus sucer des bites douteuses dans la chaleur étouffante de cette sombre arrière boutique. Des hommes frustres, sans égard pour la femme, ne voulant juste prendre que leur plaisir. Leurs mains calleuses s'offraient mon corps, le pelotant de partout, martyrisant mes seins, explorant mon sexe et mes fesses, me pénétrant sans précaution et besognant férocement jusqu'à une éjaculation qui inondait mon vagin de semence brulante.
    
    L'après midi fut long, je ne sais combien de ces arabes vinrent pour me rencontrer, les nouvelles vont vite dans le souk, et le soir venu il y avait presque la queue devant l'échoppe. Il fallut que les marchands y mette bon ordre et je quittais tard cette boutique affreuse, par une porte de derrière tandis que le fils, à contre ...
    ... cœur, retenait des hommes frustrés et en colère de ne pouvoir assouvir leurs désirs.
    
    Nous avons fuit avec mon accompagnateur, nous avons couru dans les rues étroites pour retrouver la limousine, nous y précipiter et fuir ce lieu infâme jusqu'à l'hôtel où François m'attendait, inquiet et interrogateur.
    
    Je ne trouvais pas la force de tout lui raconter mais je crois qu'il comprit que tout cela avait été trop loin. Ce soir la il me laissa me reposer après une douche bienfaisante. Je dormis comme une souche toute une nuit tourmentée de cauchemars, me réveillant en sueur, recroquevillée et tremblante.
    
    Heureusement nous devions reprendre l'avion le soir même. Je passais ma journée à me soigner, réparer les dégâts sur mon corps, les bleus, les griffures et des choses plus intimes. Je fis mes valises et j'attendis avec hâte le moment du départ.
    
    Je vivais ce dernières heures en Arabie comme dans un rêve, détachée de tout, ignorant tout, entièrement tournée vers un but, revenir à Paris.
    
    François a passé sa journée en réunion et le soir il est rentré triomphant en brandissant une liasse de papier. Les contrats, enfin signés.
    
    Ce n'est que lorsque l'avion eut décollé que je trouvais la force de raconter à François mes aventures dans le souk, mais je lui servais une version édulcorée d'où étaient absents les sévices que je subis dans l'arrière boutique. 
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