1. Parfum frelaté d'Arabie


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... François devait se battre avec elle, peinant à trouver l'entrée de la fente sèche aux lèvres closes. Tout ce cirque dura encore un long moment avant que le sexe de François réussisse à lubrifier un peu l'entrée du vagin de sa femme. Elle luttait toujours, refusant son intimité à son mari et il ne pouvait pas grand chose sinon guetter l'instant ou, son gland se trouvant en position, il pourrait donner ce coup de reins qui lui ouvrirait la voie. Ce moment fut long à venir mais François se battait lui aussi, excité par le refus de celle qui pourtant était sienne.
    
    Dans leur lutte, vint un moment ou elle faiblit, ses reins qui se refusaient à lui, devinrent moins mobiles et François sentit la fente à sa portée. Sans attendre il pesa sur elle de tout son poids et d'un violent coup de rein, il fut en elle, son gland venant butter sur son hymen. elle eut une plainte aigue. François sentit la résistance du voile de chair qui barrait l'entrée du vagin, c'était la première fois qu'il ressentait cela et une violente montée lubrique le saisit. Sa bite se tendit en un pieu irrésistible et il se rassembla ses forces avant de délivrer un coup de rein qui l'étonna lui même par sa violence. Dessous lui sa femme se cabra sous la douleur, sa bouche s'ouvrit pour libérer un cri de douleur désespéré avant qu'elle ne se sente envahie par une chair brulante et impérieuse.
    
    Elle pleura, supplia et se débattit encore mais en vain, François était en elle et il la tenait fermement. D'un seul coup, ...
    ... son corps se détendit et elle laissa son homme jouir d'elle a sa guise ce qu'il ne se priva pas de faire, jouissant en elle par deux fois avant de la libérer.
    
    Elle fut traumatisée de cette horrible nuit de noce, et par la suite elle ne se donna à son mari que le moins possible de la façon la plus classique en récitant des prières, en s'efforçant de ne trouver dans cet acte aucun plaisir.
    
    François m'a confié comme mission d'aller ce matin visiter le terrain sur lequel il a des vues pour bâtir un grand hôtel de luxe.
    
    Je ne sais pas ce qui m'a pris dans cette limousine, était ce la chaleur? L'atmosphère si particulière de l'Arabie? Le parfum subtil mais entêtant que le chauffeur avait répandu dans son auto, toujours est t il que je me suis laissée aller sur le siège arrière de la limousine que j'avais pour moi toute seule. Bien sur j'ai bien vu les regards du pakistanais dans le rétro qu'il avait judicieusement orienté vers mes cuisses. J'en ai eue des frissons, soudain une envie de me montrer est venue submerger ma raison et mes cuisses se sont ouvertes d'elles même laissant paraitre les mailles si légères d'un collant à peine visible mais qui étincelait sous la lumière vive du soleil d'Arabie.
    
    Le pakistanais en fut si surpris qu'il fit une embardée sur l'autoroute, heureusement large et peu fréquentée. Ses yeux noirs brillants se sont focalisés sur mon entre cuisses. J'affectais une indifférence un peu hautaine, laissant mon regard trainer sur le paysage de plus en ...
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