Parfum frelaté d'Arabie
Datte: 07/02/2019,
Catégories:
Sexe Interracial
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... gémissements et des frissons.
Il n'a pas été plus loin, il risquait gros, il ne savait pas si j'étais une provocatrice ou une réelle « salope » et dans le doute ses gestes sont restés mesurés. Mais moi, j'ai mouillé mon collant tout en parlant à Georges au téléphone, un Georges qui me susurrait à l'oreille des mots susceptibles de me faire mouiller, des mots à nous et qui me faisaient monter aux rideaux. Il m'a encouragé à me branler pendant que l'autre me chatouillait gentiment. J'ai joui entre ces deux hommes, l'un si proche et l'autre si loin mais si proche en même temps. Délicieuse extase, étrange situation qui me donnait des envies de possession, mais la, en plein désert et avec ce domestique, pas question d'aller plus loin alors que je sentais mes seins dardés dans mon soutien gorge, mes pointes érigées et sensibles s 'agaçant contre la dentelle des bonnets.
Alors n'y tenant plus, je me suis précipité sur le chauffeur , et défaisant sa braguette, malgré ses protestations, je lui ai sorti la bite avant de la prendre en bouche. Il m'a supplié d'arrêter mais je n'écoutais plus, je l'ai pompé sauvagement jusqu'à ce que je sente les palpitations de son membre et son éjaculation que j'ai bue avec un délice d'autant plus grand que l'interdit et le danger le rendait inquiet.
Quand j'ai eue fini, je l'ai rassurée et nous avons poursuivi la route jusqu'à l'emplacement que convoitait François.
Il a pris un chemin pour quitter la route principale et nous avons cahoté ...
... pendant un certain temps avant de parvenir à une grille qui fermait un vaste espace. Un gardien s'est avancé pendant que le pakistanais descendait sa vitre pour lui montrer son laissé passer. Le bédouin a jeté un œil à l'intérieur, il m'a dévisagé les sourcils froncés avant de donner son aval et de relever la barrière qui fermait les lieux. La voiture est repartie dans ce lieu désert, séparé du monde et un peu désolé, planté que de rare arbustes et de touffes d'herbes rare. J'ai vu apparaitre soudain une bâtisse assez basse et délabrée. Le chauffeur a arrêté la voiture avant de se tourner vers moi pour me dire que c'était la propriété que François convoitait et que la bâtisse avait appartenue à une riche famille saoudienne. J'ai essayé de repérer les lieux mais par la vitre je ne voyais pas grand-chose, aussi je suis sortie de la limousine, aussitôt enveloppée dans la chaleur intense qui régnait ici. J'ai regardé tout autour, prenant quelques clichés et puis j'ai poussé la porte de la bâtisse. L'intérieur était sombre, un peu plus frais que l'extérieur où le soleil de feu brulait le paysage. J 'ai attendu que mes yeux s'habituent à la pénombre avant de faire le tour de la maison. Il y avait encore les meubles mais on voyait bien que tout était à l'abandon. Je suis montée à l'étage et j'ai visité les pièces une à une. Des chambres, des salles de bains défraichies et des meubles visiblement délaissés. Un craquement derrière moi m'a fait sursauter et j'ai découvert mon chauffeur ...