1. Parfum frelaté d'Arabie


    Datte: 07/02/2019, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... pour fouiller au milieu de ma lingerie.
    
    L'un d'eux me fit signe de le suivre. Je cherchais François des yeux, affolée de devoir suivre cet homme. François était lui même aux prises avec un de ces peu agréables militaires, il me vit être amenée par derrière, mais il ne put rien faire. De toute façon qu'aurait il pu faire? protester au risque de se faire refouler? nous étions la en mission, c'est ce que j'ai finis par me dire pour garder un semblant de sang froid.
    
    Dans une salle toute blanche le gabelou me fixait sévèrement, nous étions seuls. Il m'a demandé de tendre mes bras à l'horizontale et il a commencer à me palper sans trop de ménagements, je sentais ses mains fermes courir le long de mon corps depuis mes aisselles jusqu'à mes fesses et puis mes cuisses. Je tremblais, pétrifiée de me trouver la devant lui sans défense. Il s'est accroupi pour me palper les cuisses et puis il est remonté sous ma jupe. J'ai eu une mouvement de recul, mais il m'a aussitôt arrêtée avec une injonction en arabe que je n'ai pas comprise mais qui était de toute façon impérative. Je me suis figée sur place. ses mains ont remonté le long de mes cuisse nues. J'avais enlevé mon collant dans l'avion en prévision de la chaleur que j'allais affronter. Mais en ce lieu entièrement clos, la climatisation était sévère, comme souvent dans les pays chauds où l'on veut montrer son aisance en mettant la clim. à fond. Je frissonnais et je me demandais si c'était la clim. ou ces mains fortes qui ...
    ... remontaient le long de mes jambes. D'un geste impérieux, il m'a fait écarter les cuisses, pour en palper l'intérieur, la ou la peau est si tendre et si douce. Je sentais ses mains rudes remonter inexorablement vers la fourches de mes jambes. Mais elles ont dévié sur mes fesses en prenant à pleine mains les globes de mon fessier. J'ai voulu protester, j'ai reculé contre le mur, il s'est relevé et en me regardant dans les yeux, l'air sévère et impénétrable, j'ai sentis sa main sa plaquer sur mon pubis. Juste plaquée, sans bouger, il me fixait sans qu'un muscles de son visage ne bouge. Je portais une culotte, mais je sentais la chaleur de sa main contre mon intimité.
    
    Cela a duré un temps que je ne saurais définir, j'avais trop peur, j'étais trop affolée, j'aurais voulu appeler François, mais où était il?
    
    De sa main libre, le gabelou s'est mis à me peloter les seins, il a ouvert mon corsage et sa main assurée est passée dans mon soutien gorge pour faire jaillir mes seins pendant qu'il vérifiait que je ne cachais rien dans mon soutien gorge. Quand il en a eu fini il m'a pincé un téton, assez fortement pour je pousse un gémissement.
    
    Avec dextérité, sa main sous ma jupe est passée sous ma culotte. J'en ai gémis quand ses doigts ont ouvert ma fente. aussitôt j'ai senti deux doigts prendre possession de mon vagin et l'explorer jusqu'au font, jusqu'à me palper l'utérus.
    
    J'en restais interdite, sans oser le moindre geste, ses yeux toujours plantés dans les miens, toujours aussi ...
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