1. Un vieux rêve oublié


    Datte: 18/02/2018, Catégories: fh, grossexe, grosseins, fépilée, vacances, amour, noculotte, pied, chaussures, rasage, Oral pénétratio, québec, Auteur: Lahel, Source: Revebebe

    ... était idéale pour lui proposer de s’allonger un moment dans mon lit… et d’enlever son jean et son t-shirt avant de m’étendre sous les draps à ses côtés… j’enfonçai mon visage dans l’épaisse fourrure d’Amir pour camoufler mes joues écarlates.
    
    J’avais un peu honte de mes hormones. Certes, j’avais eu quelques petites histoires, et même un copain de quelques semaines, depuis que Tom et moi avions rompu. Mais aucune de ces aventures n’avait su égaler les ébats que j’avais connus avec mon vieil ami, qui me connaissait si bien…
    
    Je me serais giflée. Il était venu chercher du réconfort chez moi, pas une aventure. D’ailleurs, s’il m’avait ouvertement proposé de me sauter, je l’aurais probablement giflé. Un effort colossal me permit de me ressaisir et de lever les yeux avec une attitude plus ou moins normale.
    
    Il me détaillait du coin de l’œil et je fus drôlement satisfaite d’avoir acheté cette jolie petite robe, même si elle n’était pas soldée. Elle était doublée au niveau de ma poitrine, mais elle ne laissait pas grand chose à l’imagination, moulant mon généreux buste rond, creusant sous ma gorge un sillon profond. Je m’entraînais régulièrement, au gym et surtout à la piscine ; mes jambes étaient musclées et lisses, mon ventre plat et ferme, accentuant la courbe de mes hanches… voluptueuses. J’étais une belle plante qui n’avait rien de fragile ; pulpeuse serait probablement le mot juste. La Fée Puberté avait été bonne avec moi.
    
    Je lui proposai d’aller manger quelque part ...
    ... puis de se balader en ville, sentant que je rosissais sous ses yeux. Il me semblait dangereux que nous restions assis, côte à côte, en se lançant des regards en coin. Il acquiesça et fit cliqueter ses clés, indiquant qu’on prenait son pick-up. Un peu macho, il n’avait jamais voulu me laisser conduire…
    
    Nous sommes revenus plusieurs heures plus tard, alors que le soleil commençait déjà à s’abaisser dans le ciel, les bras chargés de sacs. Ce qui avait été une innocente séance de lèche-vitrines s’était soldé par une séance de shopping en règle. Il avait tenu à me payer une paire de sandales à haut talons en cuir vert tendre, au style vaguement gladiateur malgré leur fragilité, pour lesquelles j’avais eu un véritable coup de cœur ; elles étaient hors de prix, délicates et brodées de fil rose pâle, à la douce semelle ivoire. Normalement, je n’aurais jamais accepté un tel cadeau ; mais il avait bien failli s’emporter dans le magasin, et j’avais compris qu’il m’offrait un calumet de paix. Quant à moi, je n’avais pu lui payer qu’une crème glacée que nous avions dégusté en longeant le fleuve et en nous racontant par le menu nos vies des derniers mois, rattrapant le temps.
    
    Une fois qu’il eût posé les sacs sur ma table, il se débarrassa de ses espadrilles et s’allongea sur mon sofa, dans l’intention manifeste de se la couler douce. Je lui servis une cannette de bière glacée. Il ouvrit la télévision, vida la canette en quelques gorgées, cherchant une émission intéressante, me laissant ...
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