1. Un vieux rêve oublié


    Datte: 18/02/2018, Catégories: fh, grossexe, grosseins, fépilée, vacances, amour, noculotte, pied, chaussures, rasage, Oral pénétratio, québec, Auteur: Lahel, Source: Revebebe

    ... pour m’occuper de le surveiller.
    
    J’attirais moi-même une certaine curiosité et quelques types me déshabillaient du regard, visiblement déçus de ne pas me voir debout sur une scène. J’étais heureuse d’être accompagnée d’un solide gaillard, dépassant de quelques centimètres la masse ; j’en appréciais le spectacle de sons et de couleur qui se déroulait dans la salle.
    
    J’avais connu quelques expériences saphiques, dans mon adolescence, qui m’avaient laissées d’excellents souvenirs. Regarder ces beautés se trémousser, s’enrouler autour de poteaux chromés, ne me laissait pas indifférente : je le constatai au bout d’une demi-douzaine de consommations, quand je dus aller à la salle de bain.
    
    Enfin, le taxi que le barman avait appelé à la fin de la soirée s’arrêta devant mon immeuble. Tom insista pour régler la note avant de m’aider à sortir : alcool et hauts talons ne font pas nécessairement un bon ménage. Il a fallu quelques tentatives pour que j’arrive à déverrouiller les portes menant à mes murs.
    
    Je me précipitai à la salle de bain pour un besoin urgent et, constatant l’état dans lequel les belles effeuilleuses avaient mis mon délicat sous-vêtement de dentelle, je le retirai et le jetai en boule dans mon panier de lessive. Quand je ressortis de la salle de bain, mes fesses nues caressées par le tissus doux et fluide de ma robe, Tom avait déboutonné sa chemise, retiré ses chaussures, et se préparait visiblement à se coucher sur le canapé.
    
    — Déconne pas, j’ai un lit ...
    ... queen. Y aura même la place pour Amir. Et j’ai besoin de toi pour enlever ces trucs, déclarai-je, désignant les « trucs » en question qui me sanglaient les pieds.
    
    Il m’emboîta sagement le pas tandis que j’enlevais mes boucles d’oreilles. J’entendis le froissement d’une étoffe derrière moi ; je m’assis sur mon lit, croisant mes jambes, et m’attaquai aux boucles.
    
    À ma grande surprise, Tom s’agenouilla au pied du lit et prit mes chevilles dans ses mains ; larges et chaudes, endurcies par le travail manuel mais étonnement douces et délicates, elles entouraient pratiquement d’une poigne le diamètre de mes chevilles. Il m’incita doucement à décroiser les jambes et s’attaqua, de mains habiles, aux nœuds qui retenaient les lanières.
    
    J’étais hypnotisée par une mèche claire qui s’était détachée de son catogan, effleurant ses lèvres pleines et humides, ses yeux étrangement vitreux. J’attribuai cet éclat aux effets conjugués de la boisson et de la fatigue… jusqu’à ce que ses mains remontent sur mes mollets, abandonnant mes pieds encore emprisonnés sur la semelle fine, caressant ma peau ; ses lèvres vinrent se poser sur mon genou, piquèrent vers l’intérieur de ma cuisse… ses mains remontaient ma jupe sur mes hanches et, quand il effleura mes fesses puis constata de visu que la peau imberbe de mon pubis était nue, il sembla subir un choc. Il se redressa et me regarda dans les yeux : sidérée, électrisée, je n’avais pas osé bouger et je constatai que j’avais aussi cessé de respirer. ...
«12...101112...15»