Chapitre 1: Dans la famille Verneuil, je demande... la soeur - Histoires de Sexe

Chapitre 1: Dans la famille Verneuil, je demande... la soeur

... et nous étions en route… un peu cahin-caha, ma maîtrise de l’embrayage ayant été un peu malmenée par le temps. Heureusement, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas.

Douze kilomètres plus loin, nous arrivâmes chez les Germain. J’avais l’impression que la température avait encore augmenté de quelques degrés. Il faisait tout simplement étouffant. Les enfants Germain, qui avaient le même âge que Ludovic et Arthur n’étaient pas plus emballés par l’idée d’aller frapper quelques balles par cette chaleur.

C’est donc à deux que Pauline et moi fîmes quelques jeux. Je me débrouillais encore bien, face à Pauline dont le jeu était, lui, vraiment bon. Heureusement, j’avais la force brute pour moi et parvenais ainsi à glaner quelques points de-ci de-là. Après une vingtaine de minutes, j’étais tout simplement trempé de sueur… en fait, je crois que je l’étais déjà avant même de taper la première balle, mais l’effort n’avait rien arrangé.

— Ça te dérange si j’enlève mon T-shirt ? demandai-je à la jeune sœur de mon ami.
— Pas du tout ! dit-elle avec un peu trop d’empressement pour être honnête. De toute façon, on voit tout à travers.

C’est vrai qu’il me collait fameusement au corps, mouillé comme il l’était. Je le jetai donc sur le bord du terrain tout en sentant le regard gourmand de ma partenaire de jeu. Il est vrai que je fréquentais assidûment les salles de fitness, ainsi que les entraînements réguliers de« l’US Army Reserve » dont, en bon patriote, je faisais partie, avec ...

... d’assez satisfaisants résultats et j’étais assez fier de ma ligne (surtout de mes pectoraux et de mes bras)… et encore plus quand je comparais avec celle de Ludo qui, lui, s’était un peu empâté.

— Mmmh, beau gosse… t’es pas encore au niveau d’Art’, mais je dois dire que c’est agréable à regarder.
— Quoi ? Art’ fait mieux ? demandai-je, peiné de savoir que la basse-cour avait un autre coq.
— Sois pas jaloux, d’abord, c’est mon frère… et ensuite, il est hors compétition ; il a fait des pubs pour des caleçons.

Évidemment, dit comme ça… Pourtant, le souvenir que j’avais du garçon de quinze ans ne me laissait pas entrevoir ce qu’était devenu l’homme de vingt-quatre.

Je laissai donc tomber mon T-shirt et mes prétentions pour mieux me faire battre par Pauline ; un petit quart d’heure de mieux, et je remis ma reddition sans condition. Le soleil et elle avaient eu raison de moi.

— Je crois que nous pouvons rentrer, demandai-je en m’emparant une nouvelle fois de la bouteille d’eau pour en boire autant que m’en asperger.
— Oui, ça me paraît honnête, me répondit mon adversaire du jour d’un air aussi satisfait que triomphant.

Une fois dans la voiture, elle s’installa à la place du mort et enleva tout de go son polo.

— C’est que j’ai chaud aussi ! me dit-elle sans aucune gêne.

Néanmoins, un body soutenait encore ses petits seins fermes. Qu’aurais-je donné pour qu’il disparaisse à son tour ? Je n’allais pas être déçu.

— Je n’aurais jamais osé l’enlever chez les ...