Chapitre 1: Dans la famille Verneuil, je demande... la soeur
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
copains,
vacances,
campagne,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Appolloxi, Source: Revebebe
... Germain… mais toi, c’est comme la famille…
Autant dire que cet argument ne me convainquit absolument pas… pour mon plus grand bonheur. Entre-temps, une fille en body n’avait rien de bien exceptionnel. Ce qui allait suivre l’était beaucoup plus.
Sans me laisser décontenancer et sans un seul instant douter de l’innocence de la jeune Pauline (tu parles), j’enclenchai la première. Nous étions en route pour rejoindre la maison. C’est là qu’après seulement une minute, Pauline mit sa main sur mon poignet alors que je changeai de vitesse. Cela me troubla sans que je le laisse transparaître. Je me contentai de jeter un regard dans la direction de ma passagère. Elle dut le prendre pour un feu vert… en tous cas, je n’avais pas donné de contre-indication.
Quoi qu’il en soit, sa main glissa de mon poignet vers ma cuisse. Cette fois, je n’osai plus bouger et me concentrai sur la route. Ses doigts agiles vinrent me caresser doucement le torse.
— Pauline ? l’interrogeai-je. Ce n’était vraiment pas raisonnable.
Elle ne me répondit pas, se contentant de déposer un baiser sur mon téton droit dénudé. Et puis zut, tant pis pour la raison.
— Tu es beau, tu sais…
Je ne répondis rien… et me contentai de déglutir, autant de plaisir que de surprise et d’excitation.
Sa main descendit et elle commença à me caresser au travers de mon short. Je sentis ma queue commencer à se raidir dans mon boxer (si elle n’avait pas déjà commencé à le faire auparavant.)
— Tu as toujours été ...
... l’un de mes fantasmes, Jim… me chuchota Pauline à l’oreille, la mordillant au passage.
Sa main, quant à elle, avait glissé dans mon short et s’était emparée à pleine main de mon vit gonflé.
— En embrassant mes premiers copains, c’est à toi que je pensais…
C’est vrai qu’à l’époque, je passais pour le type même du surfer Américain de service. Je restais étonné par le fait que je sois resté l’exemple de la virilité désirable trois ou quatre ans après mon départ.
Ni une ni deux, elle dégagea l’élastique du short de sport et laissa émerger ma bite bien dure.
— Quel beau chibre tu as… à l’image du reste, précisa-t-elle avant de l’engloutir avec gourmandise.
C’est là que je décidai de me garer sur le bas-côté.
Aussitôt, elle abandonna son ouvrage pour donner ses instructions.
— Non, parque-toi au pont !
Je voyais exactement de quoi elle parlait. Quelques centaines de mètres plus loin, un pont offrait toute la discrétion voulue. C’était même là que Ludo et moi avions consommé notre premier pétard. Je redémarrai et elle se replongea sur ma bite offerte.
En un instant, je pus y conduire la voiture à l’abri des regards. Enfin, je pus diriger son enthousiasme qui n’était manifestement pas celui d’une novice sans pour autant passer pour une experte à l’image de Samantha, par exemple. Elle ne manquait pas pour autant de talent. Cela restait la plus agréable caresse que pouvait administrer une femme à un homme. Sa bouche allait et venait avec application sur mon ...