1. Chapitre 1: Dans la famille Verneuil, je demande... la soeur


    Datte: 25/01/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, copains, vacances, campagne, Oral pénétratio, occasion, Auteur: Appolloxi, Source: Revebebe

    Chicago, Illinois, début juillet 2006
    
    — Oh, puuuutain ! Saaam ! dis-je d’une main crispée aux draps et l’autre à la tête de la magnifique noire longiligne qui me pompait avec application dans mon appartement d’Oakdale Avenue.
    
    Samantha, Sam pour les intimes, avait la bonne grâce de coucher avec moi depuis un peu plus de trois mois. Et elle le faisait avec un talent peu commun. Elle était non seulement brillante, mais en plus elle était jolie et baisait comme une déesse. « Une tête bien faite dans un corps bien fait ». Dans son cas, on aurait pu ajouter que ce corps bien fait savait onduler avec volupté.
    
    Elle et moi nous étions rencontrés sur les bancs de laKellog School of Management de Chicago et nos relations restèrent purement amicales et platoniques pendant un certain temps. En fait, il avait fallu que nous fussions l’un et l’autre en manque profond de relation sexuelle pour en arriver là.
    
    Versés dans le même groupe de travail, surchargés par celui-ci, nous nous étions permis un temps de pause. Nous sirotions tranquillement un verre de vin chez elle, échangeant sur nos vies et nos impressions. Alors qu’elle se plaignait de souffrir d’un manque d’affection, je ne pus que partager ce sentiment. La pression et le temps consacré à nos obligations scolaires devenaient tels que cela ne donnait guère le temps aux célibataires d’assouvir ce besoin physiologique qu’est la chair. Bref, il nous manquait de temps pour flirter et, par conséquent, pour baiser… et ...
    ... malheureusement (ou heureusement), la masturbation n’est qu’une piètre alternative à une vraie bonne partie de jambes en l’air.
    
    Innocemment (ou pas), je ricanai en lui proposant mes services. Il n’en fallut pas plus pour qu’elle me prenne au mot en me disant qu’elle me trouvait tout à fait passable physiquement. Je ne pus que lui retourner le compliment, ce qui ne fut pas bien difficile puisque je le pensais. Inutile de dire que, portés par notre trop longue abstinence, la conversation se termina de façon assez scabreuse sur son petit sofa Ikea.
    
    L’affaire fut vite conclue : pas de temps à perdre, en cas de besoin, allons l’un chez l’autre et niquons. C’est ainsi que Sam et moi devînmes« friends with benefits ». L’accord était clair, il n’était pas question de tomber amoureux, il s’agissait juste de se tenir chaud (ce qui, à Chicago en cette fin d’hiver, n’était pas du luxe) et de combler nos besoins sexuels.
    
    Finalement, cela nous arrangeait bien tous les deux. Elle me plaisait bien physiquement malgré le fait que je n’avais pas spécialement pensé sortir avec elle en particulier, et manifestement, je ne lui déplaisais pas « malgré que je sois blanc »(sic).
    
    Objectivement, elle n’avait pas tort (sauf sur le « malgré »). Il n’y a pas plus blanc en Amérique que moi, que ce soit physiquement ou sociologiquement. De fait, je suis la quintessence du WASP : garçon blanc, auburn aux yeux verts, de bonne famille protestante de Nouvelle-Angleterre, au point que ma mère se rend avec ...
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